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Discours du secrétaire général du Hezbollah à l’occasion de la clôture du parcours de Achoura dans la banlieue sud de Beyrouth

Discours du secrétaire général du Hezbollah à l’occasion de la clôture du parcours de Achoura dans la banlieue sud de Beyrouth
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Au nom de Dieu

Au début de ce discours, je voudrais présenter mes condoléances au Prophète Mohamad et je vais lire ce qui a été écrit sur cette visite sacrée à l‘occasion de la mort de son fils al Hussein.

Chers frères et sœurs, vous tous qui êtes réunis dans plusieurs lieux pour écouter ce discours, je vous salue et souhaite le bienêtre à vos martyrs, aux familles de vos martyrs, vous qui depuis dix mois donnez votre sang, celui des vôtres et tant de sacrifices. Je souhaite aussi la paix à vos martyrs, à leurs familles, à vos blessés, à leurs familles et à tous ceux qui résistent dans les villages et localités du sud en première ligne, je salue aussi ceux qui ont été contraints de quitter leurs maisons et qui patientent et tiennent bon. Je salue encore les moujahidins résistants, combattants qui font le guet et je salue cet environnement populaire noble et courageux, je salue aussi tous ceux qui appuient, soutiennent et prient, vous êtes les gens de cœur, de la noblesse, et de la générosité.

En ce dixième jour, le jour du sacrifice, du dévouement, le premier regard, celui des yeux et celui du cœur est vers Gaza, aux habitants de Gaza, aux résistants de Gaza. Je voudrais leur dire : Paix aux gens de Gaza patients, résistants, en cette période de souffrance, de sacrifices et de lutte. Je salue les gens de Gaza, les femmes, les enfants et les hommes, les martyrs et les blessés, les otages, tous ces gens pleins de courage, ces héros, ces chevaliers, je salue leur courage face à la faim, à la souffrance, à la soif, au sang versé, aux maisons détruites. Ces gens donnent à chaque instant une leçon de courage, de grandeur. Ils sont des héros et font des miracles, tout en étant pétris de dignité.

Chers frères et sœurs, en un jour comme celui-ci, en mémoire de Hussein paix à son âme et en mémoire des événements de Karbala, nous reprenons les positions sur lesquelles nous avons bâti notre parcours et notre vie ? Nous apprenons de Hussein (Paix à son âme) le refus de l’humiliation, de la reddition, des tyrans, des arrogants, des comploteurs et des occupants, le refus de tous ceux qui veulent que nous reconnaissions  cette entité criminelle, barbare agressive et violeuse des droits, occupante et raciste. Ils veulent non seulement qu’on la reconnaisse mais aussi qu’on normalise nos relations avec elle. A ceux-là, nous disons comme l’avait dit Hussein à ceux qui au cœur du blocus, accepte le pouvoir de Yazid et de Obeidallah ben Ziad, autrement dit, accepte le règne du tyran agresseur, criminel. Qu’a donc répondu Abou Abdallah al Hussein, alors qu’il était soumis à un blocus et qu’il avait soif et qu’il faisait face à la mort : Je ne vous donnerai pas ma main dans l’humiliation et je ne reconnaîtrai pas votre pouvoir qui me transforme en esclave.

Aujourd’hui, de la place Al Hussein, au cœur de la banlieue sud, nous disons à ceux qui nous menacent de la mort, d’être tués, qui nous menacent de la guerre et veulent que nous nous rendions, que nous pliions l’échine et que nous nous taisions face à l’injustice et à la tyrannie exercée par l’ennemi sioniste en Palestine et en particulier à Gaza, ainsi qu’au sud où l’on craint une guerre plus large. A tous ceux-là, nous disons ce qu’avait dit al Hussein (Paix à son âme), en ce dixième jour de Mouharram, lorsqu’il a été placé devant deux choix : le panier ou l’humiliation. Nous reprenons son mot éternel qui continuera à secouer le monde jusqu’au dernier jour, lorsqu’il a rejeté l’humiliation, quel qu’en soit le prix. Comme lui, nous disons à tous ceux qui nous demandent de cesser d’appuyer et de soutenir les opprimés qui sont dans leur droit et qui sont attaqués à Gaza, nous disons aussi  même à ceux qui à l’intérieur du Liban nous font peur de la guerre, tous ceux-là doivent voir notre détermination, notre volonté, notre décision à travers votre présence, vos visages, vos poings levés et la phrase répétée de l’imam Hussein.

Chers frères et sœurs, l’essence de Karbala et de Achoura c’est la victoire de l’opprimé  et du détenteur du droit sur son agresseur et sur celui qui veut le priver de son droit. C’est là que nous remporterons une victoire pour la Palestine, pour la bande de Gaza si maltraitée, pour la Cisjordanie et pour tout ce peuple  agressé et étouffé depuis 76 ans. Ce peuple a été agressé par l’occupation, par les massacres, par les attaques et les menaces et cela continue. Trois Etats arabes continuent à souffrir directement de l’occupation, des agressions et du terrorisme israélien, des tueries et des assassinats. Ce sont la Palestine, le Liban et la Syrie. En même temps, la oumma des deux milliards de musulmans subit l’insulte et l’humiliation en raison des crimes de l’ennemi et de ses massacres quotidiens, contre nos proches à Gaza, ainsi qu’à travers son occupation de la mosquée Al Aqsa, considérée comme un des principaux symboles de l’Islam, sans que toute cette oumma ne bouge un pouce pour protester. Au Liban, depuis le 8 octobre 2023, nous sommes entrés dans une phase différente et nous menons une bataille différente. Car nous avons clairement dit que nous avons ouvert le front libanais de soutien dans le cadre de la bataille palestinienne du Déluge d’Al Aqsa, qui est en fait la bataille de toute la oumma, en appui au peuple palestinien opprimé, encerclé et résistant. Le front de soutien yéménite a été ouvert, ainsi que le front de soutien irakien. Nous avons avec nous, les deux  principaux appuis des mouvements de résistance depuis le début, la République islamique d’Iran et la Syrie résistante. Nous considérons que ce qu’a fait la résistance à Gaza le 7 octobre 2023 est totalement son droit. Hélas, certains continuent à dénoncer ce qu’elle a fait ce jour-là et cherchent à lui faire du tort, alors qu’ils occultent les souffrances de milliers d’otages palestiniens, leurs souffrances, les tortures auxquelles ils sont soumis dans les prisons israéliennes ainsi que les menaces dont ils font l’objet, ils occultent le blocus imposé à plus de 2 millions de personnes à Gaza depuis près de 20 ans, ainsi que les menaces à la mosquée Al Aqsa et le danger galopant de la colonie rampante avec Somotritch, Ben Gvir et les autres extrémistes, jusqu’à la Cisjordanie... Ils ignorent aussi le silence du monde face à la cause palestinienne face à ce peuple dont la moitié vit sous l’occupation et l’autre moitié, éparpillée dans le monde... face à tout cela, nous nous sentons totalement en harmonie avec le front de soutien au Liban, totalement en harmonie avec notre appartenance à Hussein, à travers cette bataille et il est normal que nous ayons des sacrifices à offrir, avec les martyrs, les blessés et les déplacés de leurs maisons détruites.

Pour la première fois, chers frères et sœurs, pour la première fois de son histoire, l’entité sioniste traverse la pire période, sur tous les plans. Les chefs politiques et militaires le reconnaissent. Pour la première fois, les leaders, les élites et même le commun des mortels parlent de la destruction du Troisième Temple. Il s’agit ici de cette troisième entité, ce troisième Etat, après la destruction des deux premiers dans le cours de l’Histoire. Pour la première fois, tous ceux-là parlent de l’effondrement, de la fin et du complexe des 80 ans et il y a beaucoup d’indices qui montrent que cela devient une réalité. Pour la première fois «Israël» paraît impuissante, après 10 mois de combat, à réaliser ses objectifs. Comment cache-t-elle son échec ?  Par les massacres odieux accomplis contre les civils à Gaza, les femmes, les enfants, la destruction des bâtiments. Pour la première fois, «Israël» a des problèmes dans tous les domaines, dans son armée, ses services de sécurité, son gouvernement, ses partis, sa société, son tissu social, ses émigrés, avec le processus d’émigration inverse, à partir de l’intérieur vers l’extérieur, dans sa sécurité et son économie, dans sa confiance en elle-même et dans la confiance de son peuple au sujet de sa survie ; Elle a aussi un problème dans le regard que lui porte désormais le monde. Tout cela c’est à cause des combats à Gaza, de la résistance à Gaza, en Cisjordanie et dans les nombreux fronts de soutien. Je voudrais ajouter aujourd’hui ce que l’ennemi lui-même a reconnu  au cours des derniers jours et que j’avais déjà évoqué à d’autres occasions, il s’agit de ses pertes stratégiques, de ses pertes humaines et matérielles. L’ennemi a ajouté quelques points ce qui montre combien cette bataille est utile et importante et combien elle est utile. Sur le front du Yémen, ce pays avec ses gens nobles et courageux a réussi à empêcher les bateaux de traverser la Mer Rouge pour aller en Palestine occupée. Ce pays a aussi réussi à imposer un blocus au port d’Eilat qui est désormais en faillite. Au cours des derniers mois, il n’a accueilli qu’un seul bateau. La résistance au Yémen a relevé les prix du transport maritime en direction de l’entité de manière constante et impressionnante. Il y a quelques mois, cette hausse des prix a atteint 200 et même 300%. Ce qui a des conséquences graves et importantes sur l’économie de l’entité et sur les prix à l’intérieur de cette entité. Un des rajouts de l’ennemi c’est que toutes les tentatives de cacher ses pertes humaines et matérielles, et en particulier tout ce qui touche à son armée, que ce soit à Gaza, en Cisjordanie ou sur le front du Liban ont échoué. Tout ce qu’il essayait de cacher est apparu d’abord dans le cadre du service de réhabilitation dans les ministères concernés et le second indice c’est ce qu’a déclaré l’ancien Premier ministre ennemi Lapid qui est le président d’un grand bloc à la Knesset et d ‘un parti. Il ne s’agit donc pas de fuites dans la presse, mais des propos tenus par une grande figure. Il dit ainsi que 9254 militaires, soldats et officiers ont été contraints à quitter le service. Jusqu’à présent, les chiffres officiels parlaient de 2000 ou même 3000 et parfois 1700 ou 1500, qui auraient été blessés, mais sans être contraints à quitter le service. Lapid lui, donne un autre chiffre et déclare même que parmi les 9254, il y aurait 3000 amputés, d’ une jambe ou d’un bras, 650 paralysés, qui vivent désormais sur fauteuil roulant, 185 qui sont atteints de cécité totale, des milliers ont aussi des troubles psychologiques aigus et dangereux. Ce qui confirme ce qu’avaient dit certains médias israéliens au cours des premiers mois de la guerre, en commentant les communiqués officiels de l’armée israélienne ainsi que les déclarations du porte-parole officiel de l’armée connu pour être un grand menteur, ces médias avaient donc dit que les pertes seraient trois fois plus importantes que ce que l’on dit officiellement. Aujourd’hui, cela apparaît au grand jour, même si certaines chaînes satellitaires arabes ne parlent pas de ces chiffres. D’un autre côté, l’armée israélienne a reconnu pour la première fois, qu’elle ne souffre pas seulement d’un manque d’effectifs et de chefs militaires tués dans les combats, elle souffre aussi d’un manque de blindés car bon nombre ont été endommagés sur le front à Gaza et au Nord. Malgré cela, certaines chaînes satellitaires arabes ont parlé d’un manque de blindés à Gaza mais elles ont effacé le mot «sur le front du Nord». Pourtant l’armée israélienne dit elle-même que certains blindés sur le front du Nord ont été endommagés et ne peuvent plus être utilisés sur le champ de bataille, ni même dans les entraînements. Il y a aussi un manque dans les munitions. Ils ont donc un manque de blindés et avec cela, ils menacent de lancer une grande guerre contre le Liban ! Les blindés ne suffisent plus pour mener la guerre à Gaza et sur le front du Nord, ni même pour les entraînements. En tout cas ils ne sont pas suffisants pour mener la guerre. Mais je veux dire que si vos blindés arrivent au Liban, au Sud du Liban, vous n’aurez plus un manque de blindés, car vous n’en aurez plus du tout !

Donc, dans la situation actuelle, nous appelons et confirmons ce qui suit :

1-Les Etats-Unis assument la responsabilité totale des crimes et des massacres commis par l’ennemi israélien, à travers leur appui politique, moral, matériel et militaire total et parce qu’ils donnent  à l’ennemi des armes, des bombes, des missiles et des tonnes d’explosifs.

2-Nous appelons à la solidarité de la oumma, des hommes libres et nobles dans le monde avec Gaza, ses habitants et sa résistance. Celui qui n’a rien fait jusqu’à présent peut se rattraper  car la bataille est toujours en cours.

3-Nous invitons le peuple palestinien à ne pas écouter les voix laides qui cherchent à poignarder la résistance dans le dos et à lui faire assumer la responsabilité de la bataille actuelle. Cette résistance n’avait pourtant pas d’autre choix après que le peuple palestinien ait tout tenté. Le peuple palestinien est aujourd’hui invité, dans tous ses mouvements, organisations résistantes, partis et forces politiques et populaires à s’unifier dans la bataille de la résistance qui façonne ne destin de la Palestine, voire celui de toute la région et même le destin de la oumma.

4-Il faut maintenir ouverts les fronts de soutien, en raison de leur lutte et de leur action et c’est ce que déclarent en permanence nos frères au Yémen et nos frères au sein de la résistance islamique en Irak.

5- Sur le front du Liban :

  • Ce front sera maintenu tant que l’agression israélienne se poursuivra contre Gaza, ses habitants et sa résistance sous toutes ses formes. Les menaces d’élargir la guerre ne nous font pas peur, depuis dix mois, lorsque les Israéliens avaient toute leur force, comme on le disait et lorsque les Israéliens ne souffraient pas d’un manque de chefs, de militaires, de blindés ou de munitions. Nous avons été menacés depuis 10 mois et cela continue et pourtant nous n’avons pas hésité un instant, ni reculé ou arrêté le front. En ce dixième jour, nous assurons que ce front de soutien restera ouvert tant que l’agression contre Gaza se poursuivra. Nous ne cesserons pas le combat.
  • L’ennemi prend ses aises en visant les civils au cours des derniers jours. Il y a eu deux morts civils en deux ou trois jours. Deux martyrs civils à Kfarkila, trois autres (un frère et ses deux sœurs) à Bint Jbeil, deux martyrs civils syriens entre Arnoun et Kfartebnit, trois enfants martyrs à Oum al Tout, un village proche de la frontière. La résistance a riposté la nuit en envoyant des dizaines de missiles, près de 120 et elle a visé «Kyriat Shmona» et de nombreuses colonies, sept pendant la nuit. Je voudrais aujourd’hui dire à l’ennemi que le fait de cibler les civils poussera la résistance à cibler de nouvelles colonies qui n’avaient pas été prises pour cibles auparavant.
  • - Si l’agression cesse et que les délégations commenceront à venir pour discuter de l’avenir du Sud, je voudrais préciser certaines choses :
  • D’abord, c’est l’Etat libanais qui négocie au nom du Liban. Nous avons informé ceux qui nous ont contactés que la partie concernée par le dialogue et par les réponses à donner, c’est l’Etat libanais.
  • Tout ce qui se dit sur un accord prêt à être entériné pour gérer la situation au Sud est faux. Il n’y a jusqu’à présent aucun accord. Il y a des brouillons, des idées, mais tout cela est laissé au temps.
  • Le sort de la situation au Sud sera décidé à la lumière de la bataille qui se déroule et dans laquelle les fronts de la résistance sortiront victorieux.

Le dernier point que je voudrais développer concernant le front du Liban porte sur la reconstruction. Je voudrais dire à habitants des villages du sud, surtout ceux qui sont en première ligne qu’indépendamment de l’aide que leur offrira l’Etat libanais, nous leur assurons que nous travaillerons main dans la main avec tous ceux dont les maisons ont été détruites ou endommagées pour les reconstruire. Nous lançons cette promesse, comme nous l’avions fait dans le passé. Nous reconstruirons nos maisons et nos villages frontaliers, comme ils étaient ou encore plus beaux. Car ces villages frontaliers sont le symbole de notre dignité, de notre honneur et de notre résistance. Les habitants, les hommes, les femmes, les enfants, les murs, les places, les bassins d’eau, out cela racontent notre histoire.

Toujours au sujet du front du Liban, je ne peux pas ne pas rendre hommage à cet environnement populaire patient et noble, croyant, éveillé et dévoué, visionnaire. La résistance s’appuie sur lui et votre présence aujourd’hui, ici dans les régions et pendant les dix derniers jours est la preuve de cette foi, de cet engagement et de cette vision. Votre présence est la preuve de votre détermination, de votre patience, de votre volonté de poursuivre sur ce chemin, indépendamment des difficultés et des critiques,  tout simplement parce que vous et nous croyons dans la promesse de Dieu d’aider les croyants, les moujahidins et les résistants.

Aujourd’hui, nous joignons notre voix à celle de nos frères au Yémen et en Iran hier, aujourd’hui au Liban, en Irak et en Syrie, ainsi que dans les autres pays, pour confirmer le maintien de ce front. Nous joignons notre voix, à partir de la banlieue sud à celle des autres dans le monde pour réitérer notre allégeance à Hussein (Paix à son âme), à son petit fils et à son représentant dans le droit l’imam Khamemeni lui-même fidèle à la ligne tracée par l’imam Khomeiny. Nous réitérons notre fidélité à la ligne tracée par l’imam Moussa Sadr, que Dieu le ramène sain et sauf, celle tracée par nos chefs martyrs, sayed Abbas, cheikh Ragheb, hajj Imad, hajj Qassem, Abou Mahdi al Mouhandès, tous les chefs martyrs sur les champs de batailles et sur les scènes de combat. Nous disons à tous et à Hussein, en cette période  et avec toute la cause que représente Hussein,  que nous ne l’abandonnerons pas dans l’appui au droit, la défense de l’opprimé et de la victime d’injustices et dans le refus du faux et du mal.  Nous disons à Hussein que nous ne l’abandonnerons jamais  et tout le monde le sait comme il voit nos martyrs, des pères, des mères, des épouses, des enfants, il voit aussi nos blessés, nos villages détruits, nos proches patients, nos combattants courageux et héroïques sur le front à la frontière. Nous vous disons ö Abou Abdallah que nous ne vous abandonnerons pas même si le feu nous brûle et que nous mourrons et nous revivrons mille fois, nous resterons ses disciples.

Hussein est aujourd’hui présent sur tous les fronts, dans cette lutte du vrai contre le faux, du droit contre l’injustice. La oumma de son grand père s’étend de Gaza à la Cisjordanie, à la Palestine, au Yémen, en Irak, au Liban.  Sur le front du Liban, et sur tous les autres, nous disons tous que nous n’abandonnerons pas Hussein.

Hussein en ce dixième jour de l’année 61, avait appelé les hommes forts à appuyer l’islam et les opprimés, les victimes d’injustices, ceux qui sont torturés et ceux qui souffrent  et les échos de son appel continuent à retentir aujourd’hui. Il prend même toute sa signification et sa valeur.

Nous nous disons toujours : A vos ordres Hussein ! Paix à vous tous qui êtes venus, jour et nuit, en appui à Hussein. Vos visages seront lumineux au Dernier Jour et vos prières seront prises en compte...

 

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