Vous voulez lutter contre le terrorisme? Humblement…suivez l’exemple de Damas!
Les ennemis occidentaux et régionaux de la Syrie n’ont qu’un seul choix: Reconnaître publiquement, à haute voix, que la résistance syrienne légendaire face à la guerre terroriste et absurde déclarée contre la Syrie, a renversé les plans des groupes radicaux, leurs calculs et leur terrorisme.
Ces ennemis ont cru que la souveraineté des pays et la sauvegarde, par les peuples, de leurs droits et dignité, n’étaient que des questions formelles, desquelles ils abusent, au moment voulu, pour servir leurs propres intérêts. Ils ont pensé que ces expressions étaient un droit exclusif de leurs pays et populations «modernes, civilisées et érudites». Ces populations qui jouissent des droits des hommes, alors que leurs responsables
étaient en mesure de saper ces concepts ailleurs. Et puis, commettre leur crime sans être affrontés.
Le peuple syrien, ainsi que les Nations Unies et plusieurs pays du monde savent que le droit international et la charte de l’ONU, interdisent toute agression ou complot contre la souveraineté des pays… Il est aussi interdit de fournir des armes à des groupes dans le but de renverser le régime politique dans ces pays. Mais la faillite sur le plan moral et politique chez les occidentaux, qui ont estimé avoir la mainmise sur le monde depuis la fin de la soi-disant «guerre froide», a rendu le monde otage du système unipolaire. Ce pôle américano-occidental, qui domine la situation politique, culturelle et économique dans le monde au service des intérêts de l’occident, de ses institutions et du confort de ses populations.
Ces faits ont détruit la crédibilité de l’organisation internationale, transformée en tribune pour imposer les orientations occidentales dans différents domaines. Mais ceci ne signifie point l’absence des affrontements entre les pays occidentaux et ceux qui s’emploient toujours à délivrer le monde des politiques hégémoniques et à libérer les organisations internationales de l’autoritarisme de l’occident.
Nul observateur n’ignore le rôle joué par la Syrie et par d’autres, dans la défense des intérêts des pays en voie de développements, de leur souveraineté et indépendance politique et économique, et son appel constant à la nécessité de suivre une méthode démocratique dans les relations internationales.
Cependant, les crises dont souffre l’occident dans les domaines financiers et économiques et l’échec du système capitaliste et des politiques de l’économie du marché dans le règlement des défis auxquels est confronté l’occident, a poussé ce dernier à exporter ses crises vers nos pays, par l’alliance avec des régimes réactionnaires, arriérés, qui pillent leurs peuples, comme est le cas de certains pays du Golfe arabe. Ces pays totalement opposés au modèle évoqué par l’occident en matière de valeurs et de stratégies, y compris le jeu relatif aux droits de l’homme et à la bonne gouvernance. En effet, l’occident «démocratique» s’est engagé à préserver des régimes corrompus, en leur fournissant des millions de Tonnes d’armes et de munitions, et des chasseurs modernes, rouillés par manque d’utilisation. Mais l’importation davantage de ces avions, est devenue une politique constante chez ces régimes, dans le but de remplir les poches des dirigeants, dont les familles se sont transformées en courtiers dans les marchés des armes, assurant aussi le financement des campagnes électorales de certains leaders européens.
Ceux qui ont planifié cette guerre contre la Syrie ont cru que la voie vers Damas sera pavée par la capitulation ou que cette guerre ne durera que plusieurs jours ou semaines, ou au maximum, un mois ou deux.
Mais le contraire fut prouvé sur le terrain. Le complot terroriste a été saboté grâce à la lutte et aux sacrifices de l’armée syrienne, dotée d’une doctrine ferme. Une armée qui s’est tenue derrière le commandement syrien et le peuple, refusant l’humiliation et la soumission. De même, le complot a été avorté grâce au soutien moral, politique et matériel des amis de la Syrie, notamment de la Russie, de la République islamique d’Iran, de la Chine, de Cuba, de l’Equateur, de Bolivie et d’autres pays de l’Afrique et de l’Asie.
Plusieurs dirigeants et intellectuels du monde ont mis à nu les politiques terroristes occidentales contre la Syrie et les effets destructeurs de ces politiques sur le monde et l’occident.
Voici le président Vladimir Poutine qui affirme: l’occident utilise l’extrémisme comme arme pour le changement géopolitique dans les autres pays. Et lorsque ce chef russe s’exprime ainsi dans l’analyse des crises mondiales, il révèle le rôle néfaste de l’occident dans le but de revenir au jeu du partage du pouvoir dans les quatre coins du monde. D’ailleurs on perçoit récemment la terreur dans les déclarations des responsables occidentaux, qui ont modifié leurs discours quant aux périls du terrorisme dont souffrent la Syrie et l’Irak. Ainsi, ils n’ont pu ignorer le terrorisme qu’ils ont tenté de masquer par la désinformation, face aux réalités en cours sur le terrain et à la possibilité du revirement de ce terrorisme qu’ils avaient délibérément déchainé pour tuer les Syriens et les Irakiens, au service de leurs buts ignominieux dans la région.
Voici le président François Hollande, cet ennemi déclaré de la Syrie, soutenu seulement par 10% du peuple français, qui confirme la présence de deux ressortissants français parmi les terroristes de «Daech», ayant perpétré une exécution collective de plusieurs militaires syriens.
De même, le premier ministre français, Manuel Valls, a annoncé ce qui suit: 50 ressortissants français ont été tués dans les combats parmi les rangs d’organisations terroristes en Syrie. S’ajoutent à ces positions les déclarations du ministre de l’Intérieur qui a tiré l’alarme en annonçant l’arrivée de plus de mille Français en Syrie et en Irak pour y mener des actes terroristes.
Quant au secrétaire d’Etat américain, John Kerry, il a exhorté la communauté internationale à entraver l’afflux des terroristes enrôlés par l’organisation «Daech», notant que la majorité de ces terroristes, au-devant de la scène en Syrie et en Irak, sont des étrangers, auxquels on a ordonné de commettre des crimes hideux.
On n’exagère pas en disant que le responsable américain, le président français et son premier ministre ont reconnu, pour la première fois, mais trop tard, la vérité sur le terrorisme qui frappe la Syrie, l’Irak et autres pays de la région. Ces responsables dissimulent toutefois la moitié de la vérité, en n’ayant pas le courage d’identifier ceux qui soutiennent ces terroristes, qui les arment, les hébergent, les financent et les entrainent pour tuer les Syriens et les Irakiens et décapiter certains Américains, Français et britanniques, censés fournir des aides humanitaires.
Nous avions affirmé dans le passé et affirmons toujours qu’il était quasi impossible de promouvoir l’idée selon laquelle les services de renseignements occidentaux ignoraient la destination de ces terroristes, ou le rôle des gouvernements de la Turquie, de l’Arabie et des autres pays du Golfe dans le financement de ces terroristes pour qu’ils tuent les Syriens, les Irakiens, les Egyptiens et les libyens…
Alors qu’en Suisse, le bureau de la police fédérale a organisé un atelier de travail visant à élaborer les moyens d’empêcher les «jihadistes» de voyager aux régions des conflits. Le gouvernement suisse avait précisé dans un communiqué que les nombres des «jihadistes» suisses, projetant de s’enrôler dans des combats et des actes terroristes, a atteint un niveau inouï.
En dépit de la publication de rapports par les instances onusiennes sur l’augmentation du nombre des terroristes étrangers en Syrie et en Irak pour dépasser les 15 mille, nous nous interrogeons notamment sur le moment de l’éveil de l’Europe des Etats-Unis et de leurs instruments dans la région, quant aux périls que représente le terrorisme pour la Syrie, l’Irak, la région et le monde?
La réponse, que les dirigeants de l’occident n’oseraient jamais donner à leurs peuples, est la suivante: ils n’oseront jamais reconnaitre leurs erreurs, ni la désinformation qu’ils ont exercée dans le but de justifier leur rôle dans les meurtres et la destruction de grande envergure en Syrie, et plus tard en Irak et en Lybie.
D’autre part, les dangers que provoquerait le retour de ces terroristes à leurs pays d’origine sont désormais imminents. En effet, Hollande et Cameroun ne peuvent en aucun cas dissimuler ce fait. Nous affirmons que les peuples Européens ne seront pas dupés par le mensonge relatif à la présence d’une opposition armée modérée qui doit être soutenue en Syrie. De fait, la soi-disant «Armée syrienne Libre», dont Hollande et Erdogan et autres misent toujours sur «sa modération» face à «Daech» et au «front Al-Nosra», est en effet l’organisation armée qui a initié les deux dernières à égorger les gens et à dévorer leurs cœurs et leurs foies.
Bref, la couveuse qui a été capable d’engendrer l’extrémisme, et le takfir qui furent à la base d’Al-Qaïda et de ses ramifications, y compris «Daech», le «front Al-Nosra», «l’ASL», «l’Armée de l’Islam» et autres, est la pensée wahhabite ; cette épée de Damoclès sur notre peuple à Najd et Hijaz et dans d’autres régions du monde…
Si l’occident et ses subalternes voulaient vraiment lutter contre le terrorisme, éloigner les suspicions et mettre en œuvre les résolutions du Conseil de sécurité 1373 et 2170 et 2178 appelant à la lutte antiterroriste et à l’arrêt du financement de ces groupes, nous disons, humblement, que la voie vers ce but est claire. Damas en est l’adresse. Ceux-là doivent apprendre de Damas comment elle a lutté contre le terrorisme, comment elle a résisté et éloigné ce péril des populations du monde. Ils doivent apprendre comment elle a préservé la dignité, la souveraineté de la Syrie et son rôle dans la civilisation humaine dans le passé, au présent et dans le futur!
Article paru dans le quotidien libanais Al-Binaa, traduit par l'équipe du site
Ces ennemis ont cru que la souveraineté des pays et la sauvegarde, par les peuples, de leurs droits et dignité, n’étaient que des questions formelles, desquelles ils abusent, au moment voulu, pour servir leurs propres intérêts. Ils ont pensé que ces expressions étaient un droit exclusif de leurs pays et populations «modernes, civilisées et érudites». Ces populations qui jouissent des droits des hommes, alors que leurs responsables
étaient en mesure de saper ces concepts ailleurs. Et puis, commettre leur crime sans être affrontés.Le peuple syrien, ainsi que les Nations Unies et plusieurs pays du monde savent que le droit international et la charte de l’ONU, interdisent toute agression ou complot contre la souveraineté des pays… Il est aussi interdit de fournir des armes à des groupes dans le but de renverser le régime politique dans ces pays. Mais la faillite sur le plan moral et politique chez les occidentaux, qui ont estimé avoir la mainmise sur le monde depuis la fin de la soi-disant «guerre froide», a rendu le monde otage du système unipolaire. Ce pôle américano-occidental, qui domine la situation politique, culturelle et économique dans le monde au service des intérêts de l’occident, de ses institutions et du confort de ses populations.
Ces faits ont détruit la crédibilité de l’organisation internationale, transformée en tribune pour imposer les orientations occidentales dans différents domaines. Mais ceci ne signifie point l’absence des affrontements entre les pays occidentaux et ceux qui s’emploient toujours à délivrer le monde des politiques hégémoniques et à libérer les organisations internationales de l’autoritarisme de l’occident.
Nul observateur n’ignore le rôle joué par la Syrie et par d’autres, dans la défense des intérêts des pays en voie de développements, de leur souveraineté et indépendance politique et économique, et son appel constant à la nécessité de suivre une méthode démocratique dans les relations internationales.
Cependant, les crises dont souffre l’occident dans les domaines financiers et économiques et l’échec du système capitaliste et des politiques de l’économie du marché dans le règlement des défis auxquels est confronté l’occident, a poussé ce dernier à exporter ses crises vers nos pays, par l’alliance avec des régimes réactionnaires, arriérés, qui pillent leurs peuples, comme est le cas de certains pays du Golfe arabe. Ces pays totalement opposés au modèle évoqué par l’occident en matière de valeurs et de stratégies, y compris le jeu relatif aux droits de l’homme et à la bonne gouvernance. En effet, l’occident «démocratique» s’est engagé à préserver des régimes corrompus, en leur fournissant des millions de Tonnes d’armes et de munitions, et des chasseurs modernes, rouillés par manque d’utilisation. Mais l’importation davantage de ces avions, est devenue une politique constante chez ces régimes, dans le but de remplir les poches des dirigeants, dont les familles se sont transformées en courtiers dans les marchés des armes, assurant aussi le financement des campagnes électorales de certains leaders européens.
Ceux qui ont planifié cette guerre contre la Syrie ont cru que la voie vers Damas sera pavée par la capitulation ou que cette guerre ne durera que plusieurs jours ou semaines, ou au maximum, un mois ou deux.
Mais le contraire fut prouvé sur le terrain. Le complot terroriste a été saboté grâce à la lutte et aux sacrifices de l’armée syrienne, dotée d’une doctrine ferme. Une armée qui s’est tenue derrière le commandement syrien et le peuple, refusant l’humiliation et la soumission. De même, le complot a été avorté grâce au soutien moral, politique et matériel des amis de la Syrie, notamment de la Russie, de la République islamique d’Iran, de la Chine, de Cuba, de l’Equateur, de Bolivie et d’autres pays de l’Afrique et de l’Asie.
Plusieurs dirigeants et intellectuels du monde ont mis à nu les politiques terroristes occidentales contre la Syrie et les effets destructeurs de ces politiques sur le monde et l’occident.
Voici le président Vladimir Poutine qui affirme: l’occident utilise l’extrémisme comme arme pour le changement géopolitique dans les autres pays. Et lorsque ce chef russe s’exprime ainsi dans l’analyse des crises mondiales, il révèle le rôle néfaste de l’occident dans le but de revenir au jeu du partage du pouvoir dans les quatre coins du monde. D’ailleurs on perçoit récemment la terreur dans les déclarations des responsables occidentaux, qui ont modifié leurs discours quant aux périls du terrorisme dont souffrent la Syrie et l’Irak. Ainsi, ils n’ont pu ignorer le terrorisme qu’ils ont tenté de masquer par la désinformation, face aux réalités en cours sur le terrain et à la possibilité du revirement de ce terrorisme qu’ils avaient délibérément déchainé pour tuer les Syriens et les Irakiens, au service de leurs buts ignominieux dans la région.
Voici le président François Hollande, cet ennemi déclaré de la Syrie, soutenu seulement par 10% du peuple français, qui confirme la présence de deux ressortissants français parmi les terroristes de «Daech», ayant perpétré une exécution collective de plusieurs militaires syriens.
De même, le premier ministre français, Manuel Valls, a annoncé ce qui suit: 50 ressortissants français ont été tués dans les combats parmi les rangs d’organisations terroristes en Syrie. S’ajoutent à ces positions les déclarations du ministre de l’Intérieur qui a tiré l’alarme en annonçant l’arrivée de plus de mille Français en Syrie et en Irak pour y mener des actes terroristes.
Quant au secrétaire d’Etat américain, John Kerry, il a exhorté la communauté internationale à entraver l’afflux des terroristes enrôlés par l’organisation «Daech», notant que la majorité de ces terroristes, au-devant de la scène en Syrie et en Irak, sont des étrangers, auxquels on a ordonné de commettre des crimes hideux.
On n’exagère pas en disant que le responsable américain, le président français et son premier ministre ont reconnu, pour la première fois, mais trop tard, la vérité sur le terrorisme qui frappe la Syrie, l’Irak et autres pays de la région. Ces responsables dissimulent toutefois la moitié de la vérité, en n’ayant pas le courage d’identifier ceux qui soutiennent ces terroristes, qui les arment, les hébergent, les financent et les entrainent pour tuer les Syriens et les Irakiens et décapiter certains Américains, Français et britanniques, censés fournir des aides humanitaires.
Nous avions affirmé dans le passé et affirmons toujours qu’il était quasi impossible de promouvoir l’idée selon laquelle les services de renseignements occidentaux ignoraient la destination de ces terroristes, ou le rôle des gouvernements de la Turquie, de l’Arabie et des autres pays du Golfe dans le financement de ces terroristes pour qu’ils tuent les Syriens, les Irakiens, les Egyptiens et les libyens…
Alors qu’en Suisse, le bureau de la police fédérale a organisé un atelier de travail visant à élaborer les moyens d’empêcher les «jihadistes» de voyager aux régions des conflits. Le gouvernement suisse avait précisé dans un communiqué que les nombres des «jihadistes» suisses, projetant de s’enrôler dans des combats et des actes terroristes, a atteint un niveau inouï.
En dépit de la publication de rapports par les instances onusiennes sur l’augmentation du nombre des terroristes étrangers en Syrie et en Irak pour dépasser les 15 mille, nous nous interrogeons notamment sur le moment de l’éveil de l’Europe des Etats-Unis et de leurs instruments dans la région, quant aux périls que représente le terrorisme pour la Syrie, l’Irak, la région et le monde?
La réponse, que les dirigeants de l’occident n’oseraient jamais donner à leurs peuples, est la suivante: ils n’oseront jamais reconnaitre leurs erreurs, ni la désinformation qu’ils ont exercée dans le but de justifier leur rôle dans les meurtres et la destruction de grande envergure en Syrie, et plus tard en Irak et en Lybie.
D’autre part, les dangers que provoquerait le retour de ces terroristes à leurs pays d’origine sont désormais imminents. En effet, Hollande et Cameroun ne peuvent en aucun cas dissimuler ce fait. Nous affirmons que les peuples Européens ne seront pas dupés par le mensonge relatif à la présence d’une opposition armée modérée qui doit être soutenue en Syrie. De fait, la soi-disant «Armée syrienne Libre», dont Hollande et Erdogan et autres misent toujours sur «sa modération» face à «Daech» et au «front Al-Nosra», est en effet l’organisation armée qui a initié les deux dernières à égorger les gens et à dévorer leurs cœurs et leurs foies.
Bref, la couveuse qui a été capable d’engendrer l’extrémisme, et le takfir qui furent à la base d’Al-Qaïda et de ses ramifications, y compris «Daech», le «front Al-Nosra», «l’ASL», «l’Armée de l’Islam» et autres, est la pensée wahhabite ; cette épée de Damoclès sur notre peuple à Najd et Hijaz et dans d’autres régions du monde…
Si l’occident et ses subalternes voulaient vraiment lutter contre le terrorisme, éloigner les suspicions et mettre en œuvre les résolutions du Conseil de sécurité 1373 et 2170 et 2178 appelant à la lutte antiterroriste et à l’arrêt du financement de ces groupes, nous disons, humblement, que la voie vers ce but est claire. Damas en est l’adresse. Ceux-là doivent apprendre de Damas comment elle a lutté contre le terrorisme, comment elle a résisté et éloigné ce péril des populations du monde. Ils doivent apprendre comment elle a préservé la dignité, la souveraineté de la Syrie et son rôle dans la civilisation humaine dans le passé, au présent et dans le futur!
Article paru dans le quotidien libanais Al-Binaa, traduit par l'équipe du site
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