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Des officiers israéliens en Arabie pour coordonner une attaque contre l’Iran

Des officiers israéliens en Arabie pour coordonner une attaque contre l’Iran
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Des officiers israéliens se sont rendus dernièrement en Arabie Saoudite pour discuter d'une attaque présumée contre l'Iran, rapporte le site d'informations israélien Rotter.net.

Citant le journaliste américano-israélien Aaron Klein, le site affirme que des agents de renseignement israéliens ont inspecté lors de cette visite les installations saoudiennes que l'armée de l'air israélienne pourrait utiliser au cas où «Israël» décide d'attaquer l'Iran.

Cependant, le site s'interroge sur l'objectif de cette visite : S'agit-il d'un signe montrant que cesDes officiers israéliens en Arabie pour coordonner une attaque contre l’Iran pays sont vraiment prêts pour attaquer l'Iran ou justement des pressions sur les Occidentaux pour faire preuve davantage de fermeté à l'égard de Téhéran concernant l'accord final sur le nucléaire avec le groupe de (5+1).

Selon M. Klein, l'entité sioniste, le Qatar, l'Arabie ainsi que d'autres pays du Golfe ont discuté de prochaines mesures en prélude à une frappe contre Téhéran. Les Etats-Unis, poursuit le journaliste, ont prévenu «Tel Aviv» et Riyad que toute attaque contre l'Iran devrait avoir l'approbation expresse du président américain Barack Obama.

«Des intérêts communs israélo-saoudiens»

Parallèlement, l'homme d'affaires saoudien et l'un des émirs de la famille au pouvoir au royaume, le prince Talal Ben Walid, a admis la présence des intérêts communs entre son pays et «Israël».

Dans un entretien au Wall Street Jounal, le prince saoudien a critiqué la politique américaine au Moyen-Orient, déplorant l'absence des politiques définies de l'administration US menant ainsi au chaos et au vide.

Il a également tiré à boulets rouges contre la politique US adoptée en Syrie, accusant Washington d'avoir peur en renonçant à intervenir militairement dans ce pays.
«La guerre en Syrie se poursuit et le président Bachar Assad règne toujours. Lui et ses alliés iraniens en sont sortis vainqueurs», a-t-il regretté.

Source : sites web, traduit par l'équipe du site

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