noscript

Please Wait...

Premier débat de la primaire républicaine, snobé par Trump

Premier débat de la primaire républicaine, snobé par Trump
folder_openAmériques access_timedepuis 8 mois
starAJOUTER AUX FAVORIS

Par AlAhed avec agences

Absent lors du premier débat du parti républicain, organisé en vue de la prochaine présidentielle aux États-Unis, Donald Trump s'est néanmoins exprimé dans une interview, diffusée en même temps que le débat sur X (ancien Twitter).

L'ex-dirigeant américain a choisi de snober ce rendez-vous, organisé à partir de 20 heures locales (1 heures GMT jeudi) à Milwaukee dans le Wisconsin, en raison de sa très large avance dans les enquêtes d'opinion républicaines.

Les quatre inculpations du tempétueux milliardaire, qui font l'objet d'une attention médiatique vertigineuse, ont donné lieu aux échanges les plus acrimonieux. Mais aussi à une séquence des plus étranges: à la question de savoir si Donald Trump devrait se voir confier les clés de la Maison Blanche, même s'il était condamné pénalement en justice, tous les candidats - sauf deux - ont levé la main, de façon plutôt hésitante.

Chaque rebondissement dans cette longue saga judiciaire amène ses millions de dollars de dons de trumpistes convaincus, comme il le dit, qu'il est victime d'une «chasse aux sorcières».

Mercredi matin, six des 18 personnes poursuivies avec M. Trump en Géorgie s'étaient déjà soumises à la procédure. Et son ancien avocat Rudy Giuliani avait prévu de le faire dans la journée.

Interrogé par des médias américains à la sortie de son domicile à New York, ce dernier a relativisé l'importance du rendez-vous et défendu Donald Trump.

«J'ai mené des combats bien pires que ça», a souligné Rudy Giuliani, connu pour sa lutte antimafia à New York, avant d'ajouter: «Je ne sais pas combien de fois Donald Trump devra être prouvé qu'il est innocent».

Le 5 novembre 2024, lors de l'élection présidentielle américaine, le vainqueur des primaires républicaines affrontera le candidat désigné par les démocrates, très probablement Joe Biden.

Comments

//