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L’occupation sépare et déporte: des crimes de guerre qui restent impunis

L’occupation sépare et déporte: des crimes de guerre qui restent impunis
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Il a douze ans, il s’appelle Karam Khaled Daana, et vit dans la ville d’al-Khalil. Les autorités de l’occupation ont décidé de le séparer de sa famille. Enlevé par les forces de l’occupation alors qu’il se trouvait à l’école, Karam Daana a eu à subir quatre heures d’arrestation dans le camp militaire de la colonie Kiriat Arbaa. Le tribunal militaire de Ofer l’a condamné à être séparé pendant 5 mois de sa famille et à vivre chez un oncle, dont la maison est éloignée de la sienne, sans pouvoir se rendre à l’école, ayant été accusé par l’occupation de détester les colons et de leur lancer des pierres.
Après l’arrestation de onze Palestiniens de 48 venus pour protéger la mosquée al-Aqsa dans la ville d’al-Qods, les autorités de l’occupation les ont libérés, alors que le tribunal sioniste a décidé de les éloigner entièrement de la ville d’al-Qods, pendant un mois et demi. Ces jeunes étaient intervenus contre les colons qui avaient envahi la mosquée sainte jeudi dernier. Ces mesures criminelles de l’occupation visent à limiter la présence des Palestiniens dans la ville occupée d’al-Qods.

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