Après la chute de Yabroud, le terrorisme frappe dans la Békaa: attentat suicide à Nabi Othman
Des «répliques» à la bataille de Yabroud, le terrorisme frappe les civils dans la Békaa: Lundi matin, l'armée libanaise fait exploser une voiture piégée. Dimanche soir, un kamikaze fait exploser sa voiture après son interception.
L'armée libanaise a fait exploser une voiture piégée trouvée, lundi matin, entre les régions de Fakiha et Ras Baalbeck, dans la Békaa, rapporte l'Agence nationale d'information (ANI, officielle).
La troupe a tiré une roquette B7 sur le véhicule, un Grand Cherokee dont le chauffeur avait pris la fuite, et l'a fait exploser.
Selon les médias locaux, la voiture contenait 170 kilogrammes d'explosifs.
L'armée libanaise a par ailleurs arrêté, lundi, un groupe de Syriens qui tentaient de passer les frontières syriennes vers le Liban à travers le village frontalier de Wadi Khaled, au Akkar.
Dimanche soir, les terroristes en Syrie se sont vengés de leur cuisante défaite à Yabroud en commettant, un attentat suicide dans le village de Nabi Othman, dans le nord de la Békaa, près de la frontière syrienne.
L’attentat a donc fait quatre martyrs et douze blessés et causé des dommages dans la mosquée de la région, les commerces et les résidences sans oublier les voitures incendiées.
Selon des sources concordantes, la voiture, conduite par un kamikaze, venait de la région de
Wadi Rafeq, sur les hauteurs de Ersal, et avait été repérée depuis un certain temps par les services de sécurité. Le terroriste a fait sauter la véhicule après qu'il eut été intercepté à un barrage à l'entrée de la localité.
Un groupe extrémiste se faisant appeler la «Brigade des sunnites libres de Baalbeck» a revendiqué l'attentat sur son compte Twitter. Ce groupe terroriste a mis en garde l'Armée libanaise et le Hezbollah contre «une bataille de Yabroud à l'intérieur du Liban».
Plus tard, les takfiristes du Front al-Nosra au Liban ont également revendiqué l'attentat.
Cette attaque est intervenue quelques heures après la prise par l'armée syrienne et ses alliés de la ville de Yabroud, le plus important fief rebelle dans la région montagneuse du Qalamoun, limitrophe à la frontière avec le Liban.
Source: mediarama, agences et rédaction
L'armée libanaise a fait exploser une voiture piégée trouvée, lundi matin, entre les régions de Fakiha et Ras Baalbeck, dans la Békaa, rapporte l'Agence nationale d'information (ANI, officielle).
La troupe a tiré une roquette B7 sur le véhicule, un Grand Cherokee dont le chauffeur avait pris la fuite, et l'a fait exploser.
Selon les médias locaux, la voiture contenait 170 kilogrammes d'explosifs.
L'armée libanaise a par ailleurs arrêté, lundi, un groupe de Syriens qui tentaient de passer les frontières syriennes vers le Liban à travers le village frontalier de Wadi Khaled, au Akkar.
Dimanche soir, les terroristes en Syrie se sont vengés de leur cuisante défaite à Yabroud en commettant, un attentat suicide dans le village de Nabi Othman, dans le nord de la Békaa, près de la frontière syrienne.
L’attentat a donc fait quatre martyrs et douze blessés et causé des dommages dans la mosquée de la région, les commerces et les résidences sans oublier les voitures incendiées.
Selon des sources concordantes, la voiture, conduite par un kamikaze, venait de la région de
Wadi Rafeq, sur les hauteurs de Ersal, et avait été repérée depuis un certain temps par les services de sécurité. Le terroriste a fait sauter la véhicule après qu'il eut été intercepté à un barrage à l'entrée de la localité. Un groupe extrémiste se faisant appeler la «Brigade des sunnites libres de Baalbeck» a revendiqué l'attentat sur son compte Twitter. Ce groupe terroriste a mis en garde l'Armée libanaise et le Hezbollah contre «une bataille de Yabroud à l'intérieur du Liban».
Plus tard, les takfiristes du Front al-Nosra au Liban ont également revendiqué l'attentat.
Cette attaque est intervenue quelques heures après la prise par l'armée syrienne et ses alliés de la ville de Yabroud, le plus important fief rebelle dans la région montagneuse du Qalamoun, limitrophe à la frontière avec le Liban.
Source: mediarama, agences et rédaction
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