L’occupation sioniste et la violation des droits des enfants palestiniens

En dépit des chartes et des normes internationales relatives aux droits de l’Homme, notamment la charte des droits de l’enfant qui souligne la nécessité de protéger les enfants et de limiter la possibilité de la détention la considérant comme la dernière option, pour une période réduite, les autorités de l’occupation israélienne ont fait prévaloir le meurtre des enfants palestiniens, sur la détention ou tout autre choix.
Un reportage diffusé par la deuxième chaine de la télévision israélienne a braqué l’éclairage, de
Le reportage précité a montré une campagne de perquisition dans le camp el-Ouroube de la ville el-Khalil, au sud de la Cisjordanie occupée et exposé comment les enfants sont contraints de quitter leurs lits dans la nuit, les yeux bandées et les membres ligotés devant leurs mères et ce sous le prétexte de leur participation au lancement des pierres contre les véhicules des colons.
Ce n’est pas la première fois que les caméras captent de telles exactions contre des enfants palestiniens âgés de moins de 16 ans, dans les différentes régions de la Cisjordanie occupée.
Le chercheur de l’institution de «La solidarité internationale», Ahmad Bitawi, a estimé que les harcèlements perpétrés par les forces israéliennes, étaient un indice sur l’absence des sanctions adoptées par les autorités compétentes de l’entité sioniste qui se considère toujours au-dessus des lois.
M. Bitawi a mis en garde, dans un entretien accordé à Al-Ahednews, contre les tentatives des medias israéliens de présenter les soldats comme étant soucieux de rassurer les enfants israéliens, en leur permettant de mettre leurs vêtements lors des perquisitions, sachant qu’en
Le chercheur a affirmé que durant la dernière période, une grande escalade a eu lieu envers les enfants palestiniens détenus, qui ont subi toute sorte de violence physique.
Selon les propos de M.Bitawi, ces exactions nécessitent une action sérieuse et rapide de la part des institutions de droit dans le monde, pour faire cesser ces violations devenues quasi quotidiennes.
Pour sa part, le centre «Aharar» (Libres) a appelé les autorités palestiniennes à la nécessité de profiter des documents visuels relatant les crimes israéliens, comme preuves pour condamner l’occupation.
Le directeur du centre, Fouad el-Khafech, a réclamé aux autorités palestiniennes de donner des directives à leurs missions diplomatiques pour diffuser les films et ne pas sous-estimer leur impact, en vue de stigmatiser les abus de «Tel-Aviv», devant les Européens et les Occidentaux, qui prétendent tenir aux droits de l’homme.
Le centre d’information israélien pour les droits de l’homme dans les territoires occupés, connu sous le nom de «Taslim», collecte des informations en permanence sur les violations visant les Palestiniens.
Parmi ces incidents, l’agression menée par les soi-disant garde-frontières, contre l’enfant Saïd Koblawi, âgé de 14 ans et habitant le village Abou Diss, d’el-Qods occupée.
Selon le témoignage de l’enfant, un policier l’a arrêté près de sa maison, l’a trainé vers une Jeep où, couché dans la voiture, d’autres policiers l’ont battu, jusqu’à la caserne à laquelle il a été transporté.
Source : Alahednews, traduit par : moqawama.org
nouveau, sur la fréquence des atteintes portées aux enfants palestiniens, à travers les poursuites et les détentions violentes, menées par les soldats de l’occupation dans le but de les intimider et de terroriser leurs parents.
vérité, ils se comportent avec eux avec cruauté et sadisme.
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