La bataille de Damas est désormais du passé

Celui qui se rend en Syrie ces jours-ci, constate l'ampleur du changement stratégique survenu dans les combats, notamment durant le dernier mois de la guerre menée en et contre la Syrie.
En effet, durant les mois derniers, les rebelles détenaient l'initiative militaire, à la suite de la série d'agressions lancées par ces derniers dans les quatre coins de la Syrie, ce qui leur a permis de contrôler de larges zones, dont une grande partie d'Alep où ils avaient assiégé les unités de l'armée loyaliste ainsi que les deux aéroports, militaire et civil, de la ville.
Les rebelles avaient de même remporté plusieurs victoires militaires dans des aéroports au nord et au sud de la Syrie, où ils ont mis la main sur plusieurs bataillons de défense aérienne et sur des zones stratégiques, surtout dans les régions est et sud des faubourgs de Damas. De ce fait, la rue de l'aéroport a été coupée à plusieurs reprises.
L'opposition est aussi parvenue à envahir la ville Rekkah, comme premier centre de gouvernorat en Syrie, au moment où la grande caserne de Wadi el-Dayfe, située dans les faubourgs de Hama, subissait un siège durant huit mois successifs.
À partir des deux aéroports d'Alep, l'opposition armée a commencé à perdre l'initiative
militaire et ce depuis la fin de février dernier, lorsqu'une grande force de l'armée, en provenance de la ville Selmieh du faubourg de Hama, est parvenue à Tel-Chegheib dans les banlieues d'Alep, afin de briser le siège autour de l'aéroport militaire El-Neyrab et de l'aéroport international civil d'Alep, via une manœuvre militaire au nord-est d'Alep, dans la région Sfeira. Pendant cette opération, l'armée a contrôlé les villages Khanasser, Tel-Aaren et Tel-Hassel et enfin Tel-Chegheib, ce qui a abouti à briser le siège autour des deux aéroports précités.
Les combats dans la région centrale stratégique de Homs, ont été les prémices d'une nouvelle étape dans le conflit. La force d'action des rebelles y a été affaiblie par la chute du quartier stratégique Deir-Baalaba et la reprise par l'armée du passage frontalier Joussieh, pour s'étendre vers Tel-Hanach, Jousseih-Khrab et le barrage 14. Par conséquent, les forces loyalistes ont supervisé les voies de ravitaillement de l'opposition à partir de la région Qaa, de la Bekaa nord du Liban.
L'armée syrienne a poursuivi ses opérations pour assiéger les combattants opposants de Kosseir et de Homs, par la prise du mont Mando, que le site Al-Ahednews a été le premier à évoquer son importance militaire stratégique.
Les nouvelles données militaires ont de même été enregistrées au Rif de Damas, où les groupes armés ont perdu leurs importants bastions, notamment à Ghouta-est. L'armée est parvenue à contrôler la plus grande superficie de Daraya et d'y cerner les rebelles aux périphéries de la ville Moazzamia. Elle a de même pris d'assaut une partie de la ville stratégique Oteiba, dans laquelle affluaient les armes en provenance du Liban et de la Jordanie, avant qu'elles ne soient distribuées aux différents fronts de combat.
En outre, la troupe a réussi à briser le siège autour du bataillon de la ville Adra. Mais le développement significatif, fut dans la défaite des rebelles dans la ville Akraba, à partir de laquelle ils assiégeaient l'aéroport international de Damas.
Par la suite, l'armée a nettoyé le village Beit-Sahem et le voisinage du village Chebaa, près de la route de l'aéroport, désormais entièrement sécurisée.
Dans l'axe de Jobar, l'armée a étendu sa zone d'action jusqu'au stade sportif Abbasside, transformé en caserne militaire. Sur ce, les rebelles ont été éloignés de la place Abbassides et des anciens quartiers de la capitale.
À l'issue de ces réalisations militaires, la bataille de Damas est désormais du passé et toute menace à ce titre est devenue un genre d'hérésie médiatique, dépourvue de tout fondement sur le terrain.
Au sud de la Syrie, l'armée a repris le contrôle des zones frontalières qui s'étendent de Soueida au passage frontalier Nassib. Les forces avancent dans la région de Kherbet- Ghazaleh, en une offensive visant à expulser les rebelles des périphéries de ce village, à partir duquel ils bloquaient la route Deraa-Damas.
Source : Alahednews, traduit par : moqawama.org
En effet, durant les mois derniers, les rebelles détenaient l'initiative militaire, à la suite de la série d'agressions lancées par ces derniers dans les quatre coins de la Syrie, ce qui leur a permis de contrôler de larges zones, dont une grande partie d'Alep où ils avaient assiégé les unités de l'armée loyaliste ainsi que les deux aéroports, militaire et civil, de la ville.
Les rebelles avaient de même remporté plusieurs victoires militaires dans des aéroports au nord et au sud de la Syrie, où ils ont mis la main sur plusieurs bataillons de défense aérienne et sur des zones stratégiques, surtout dans les régions est et sud des faubourgs de Damas. De ce fait, la rue de l'aéroport a été coupée à plusieurs reprises.
L'opposition est aussi parvenue à envahir la ville Rekkah, comme premier centre de gouvernorat en Syrie, au moment où la grande caserne de Wadi el-Dayfe, située dans les faubourgs de Hama, subissait un siège durant huit mois successifs.
À partir des deux aéroports d'Alep, l'opposition armée a commencé à perdre l'initiative

Les combats dans la région centrale stratégique de Homs, ont été les prémices d'une nouvelle étape dans le conflit. La force d'action des rebelles y a été affaiblie par la chute du quartier stratégique Deir-Baalaba et la reprise par l'armée du passage frontalier Joussieh, pour s'étendre vers Tel-Hanach, Jousseih-Khrab et le barrage 14. Par conséquent, les forces loyalistes ont supervisé les voies de ravitaillement de l'opposition à partir de la région Qaa, de la Bekaa nord du Liban.
L'armée syrienne a poursuivi ses opérations pour assiéger les combattants opposants de Kosseir et de Homs, par la prise du mont Mando, que le site Al-Ahednews a été le premier à évoquer son importance militaire stratégique.
Les nouvelles données militaires ont de même été enregistrées au Rif de Damas, où les groupes armés ont perdu leurs importants bastions, notamment à Ghouta-est. L'armée est parvenue à contrôler la plus grande superficie de Daraya et d'y cerner les rebelles aux périphéries de la ville Moazzamia. Elle a de même pris d'assaut une partie de la ville stratégique Oteiba, dans laquelle affluaient les armes en provenance du Liban et de la Jordanie, avant qu'elles ne soient distribuées aux différents fronts de combat.
En outre, la troupe a réussi à briser le siège autour du bataillon de la ville Adra. Mais le développement significatif, fut dans la défaite des rebelles dans la ville Akraba, à partir de laquelle ils assiégeaient l'aéroport international de Damas.
Par la suite, l'armée a nettoyé le village Beit-Sahem et le voisinage du village Chebaa, près de la route de l'aéroport, désormais entièrement sécurisée.
Dans l'axe de Jobar, l'armée a étendu sa zone d'action jusqu'au stade sportif Abbasside, transformé en caserne militaire. Sur ce, les rebelles ont été éloignés de la place Abbassides et des anciens quartiers de la capitale.
À l'issue de ces réalisations militaires, la bataille de Damas est désormais du passé et toute menace à ce titre est devenue un genre d'hérésie médiatique, dépourvue de tout fondement sur le terrain.
Au sud de la Syrie, l'armée a repris le contrôle des zones frontalières qui s'étendent de Soueida au passage frontalier Nassib. Les forces avancent dans la région de Kherbet- Ghazaleh, en une offensive visant à expulser les rebelles des périphéries de ce village, à partir duquel ils bloquaient la route Deraa-Damas.
Source : Alahednews, traduit par : moqawama.org
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