"Israël": Il n’y aura pas de tensions avec Obama
Le vice-Premier ministre israélien Sylvan Shalom s'est félicité mercredi de la réélection de Barack Obama, en critiquant les médias et l'opposition qui prévoient des tensions en raison des sympathies prêtées au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu en faveur de Mitt Romney.
"Toutes les administrations américaines sont en faveur d'Israël tant sur le plan politique, sécuritaire ou économique car nous avons des intérêts et des valeurs en commun. Barack Obama a été avec nous dans les moments les plus sensibles", a affirmé M. Shalom à la radio publique. "Ceux qui affirment que cela va être dur et qu'il y aura une confrontation durant le deuxième mandat de Barack Obama se trompent", a ajouté M. Shalom.
En septembre, M. Netanyahu avait réclamé avec insistance à la Maison Blanche d'imposer à Téhéran "des lignes rouges claires" à ne pas dépasser dans son programme nucléaire, en menaçant de frapper préventivement les installations atomiques iraniennes. Toutefois, il s'est heurté à un refus du président Obama, comme le reste de la communauté internationale, qui privilégie à ce stade un durcissement des sanctions contre l'Iran.
Le vice-ministre des Affaires étrangères Danny Ayalon cité par la radio militaire a pour sa part exprimé sa certitude que le "président Obama sera excellent pour Israël pendant son second mandat".
Le député de l'opposition travailliste Avihaï Braverman, a, en revanche, critiqué M. Netanyahu en l'accusant d'avoir "pendant trois ans commis l'erreur de soutenir la droite extrémiste républicaine (le parti de Mitt Romney) en vue de faire tomber Barack Obama".
"Toutes les administrations américaines sont en faveur d'Israël tant sur le plan politique, sécuritaire ou économique car nous avons des intérêts et des valeurs en commun. Barack Obama a été avec nous dans les moments les plus sensibles", a affirmé M. Shalom à la radio publique. "Ceux qui affirment que cela va être dur et qu'il y aura une confrontation durant le deuxième mandat de Barack Obama se trompent", a ajouté M. Shalom.
En septembre, M. Netanyahu avait réclamé avec insistance à la Maison Blanche d'imposer à Téhéran "des lignes rouges claires" à ne pas dépasser dans son programme nucléaire, en menaçant de frapper préventivement les installations atomiques iraniennes. Toutefois, il s'est heurté à un refus du président Obama, comme le reste de la communauté internationale, qui privilégie à ce stade un durcissement des sanctions contre l'Iran.
Le vice-ministre des Affaires étrangères Danny Ayalon cité par la radio militaire a pour sa part exprimé sa certitude que le "président Obama sera excellent pour Israël pendant son second mandat".
Le député de l'opposition travailliste Avihaï Braverman, a, en revanche, critiqué M. Netanyahu en l'accusant d'avoir "pendant trois ans commis l'erreur de soutenir la droite extrémiste républicaine (le parti de Mitt Romney) en vue de faire tomber Barack Obama".