Graffiti en hébreu insultant Jésus (PsL) sur un monastère à Jérusalem
Un graffiti en hébreu insultant le prophète Jésus (PsL) a été inscrit mardi sur la porte d'entrée d'un monastère franciscain du Mont Sion à Jérusalem, a indiqué la Custodie de Terre sainte sur son site.
Des graffitis antichrétiens et des inscriptions comme "Le prix à payer" ont été taguées à la peinture bleue sur la grille d'entrée du couvent Saint-François, près du Cénacle, haut lieu du christianisme dans la Ville sainte, où selon les Evangiles a eu lieu le dernier repas du Christ avec ses disciples. la police a confirmé l'incident.
Dans une déclaration, les évêques catholiques de Terre sainte avaient exhorté les autorités israéliennes à "agir pour mettre fin à cette violence absurde" et d'assurer un "enseignement du respect" dans les écoles israéliennes".
Malgré les condamnations systématiques de tels actes par les autorités israéliennes, leurs auteurs sont rarement appréhendés et traduits en justice. En septembre, des extrémistes israéliens religieux présumés avaient incendié une porte du monastère catholique de Latroun en Israël et inscrit des graffitis antichrétiens sur les murs, provoquant des protestations générales.
Des ultras de la colonisation israélienne mènent depuis des années une politique dite du "prix à payer", consistant à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des décisions gouvernementales qu'ils jugent hostiles à leurs intérêts. Le 20 février, des graffitis avaient été découverts sur les murs d'une église baptiste à Jérusalem-Ouest. Treize jours auparavant, des inconnus avaient inscrit "Mort aux chrétiens" et "Le prix à payer" sur un mur d'enceinte du monastère de la Croix à Jérusalem-Ouest, la partie juive de la Ville sainte.
Source: OLJ
Des graffitis antichrétiens et des inscriptions comme "Le prix à payer" ont été taguées à la peinture bleue sur la grille d'entrée du couvent Saint-François, près du Cénacle, haut lieu du christianisme dans la Ville sainte, où selon les Evangiles a eu lieu le dernier repas du Christ avec ses disciples. la police a confirmé l'incident.
Dans une déclaration, les évêques catholiques de Terre sainte avaient exhorté les autorités israéliennes à "agir pour mettre fin à cette violence absurde" et d'assurer un "enseignement du respect" dans les écoles israéliennes".
Malgré les condamnations systématiques de tels actes par les autorités israéliennes, leurs auteurs sont rarement appréhendés et traduits en justice. En septembre, des extrémistes israéliens religieux présumés avaient incendié une porte du monastère catholique de Latroun en Israël et inscrit des graffitis antichrétiens sur les murs, provoquant des protestations générales.
Des ultras de la colonisation israélienne mènent depuis des années une politique dite du "prix à payer", consistant à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des décisions gouvernementales qu'ils jugent hostiles à leurs intérêts. Le 20 février, des graffitis avaient été découverts sur les murs d'une église baptiste à Jérusalem-Ouest. Treize jours auparavant, des inconnus avaient inscrit "Mort aux chrétiens" et "Le prix à payer" sur un mur d'enceinte du monastère de la Croix à Jérusalem-Ouest, la partie juive de la Ville sainte.
Source: OLJ