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Suicide d’un officier «israélien» souffrant de trouble mentale liée au génocide à Gaza

Suicide d’un officier «israélien» souffrant de trouble mentale liée au génocide à Gaza
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Par AlAhed avec PressTV

Un officier de police «israélien» de haut rang, dont la mort a été attribuée d’abord par erreur à un tir ami, s’est suicidé suite à une détresse psychologique causée après sa participation à la guerre génocidaire «israélienne» contre la bande de Gaza.

Le «quotidien israélien Haaretz» a révélé le lundi 17 février que l’officier, qui avait participé aux intenses attaques armées contre les habitants de Gaza, présentait de graves pathologies mentales à son retour de la guerre brutale qui a coûté la vie à au moins 48.200 Palestiniens, mais également laissé au moins 844 morts dans les rangs des forces d’occupation «israéliennes», dont 69 étaient des officiers de police.

Dans un premier temps, c’est le «journal israélien Yedioth Ahronoth» qui a fait part de la nouvelle, prétendant que la mort de l’officier avait été causée par des tirs amis.

L’article du «Haaretz» indique cependant que l’homme était aux prises avec de profonds troubles psychologiques qui l’ont conduit à des pensées suicidaires et, en fin de compte, à mettre fin à ses jours.

Avant sa mort, l’officier, dont l’identité n’a pas été dévoilée, avait même tenté de tromper les forces «israéliennes» en se déguisant en Palestinien et en criant «Allahu Akbar», dans une tentative de mettre sa vie en danger.

Selon les observateurs, cet incident met en évidence le lourd tribut émotionnel que la guerre a fait peser sur le personnel militaire «israélien», dont beaucoup peinent à surmonter les séquelles psychologiques.

Début janvier, «Haaretz» a rapporté qu’au moins 28 soldats «israéliens» s’étaient suicidés depuis le début de la guerre, le nombre le plus élevé enregistré depuis 2015.

Cette évolution est intervenue après la parution d’une vidéo montrant un soldat «israélien» se jetant sur une rame de métro en mouvement à «Tel-Aviv».

L’incapacité de l’armée d’occupation à empêcher un tel incident a suscité des inquiétudes croissantes parmi les colons et les professionnels de la santé mentale.

Pour faire face à ces cas, l’armée «israélienne» a, comme le rapporte «Kan», la «Société de radiodiffusion publique israélienne», recruté 800 psychiatres et ouvert des centres de conseil psychologique supplémentaires pour assister ses forces.

Les centres auraient reçu plus de 3.900 appels de militaires qui envisagent le suicide, dont beaucoup racontent souffrir d’un grave trouble de stress post-traumatique (TSPT), aggravé par un redéploiement constant et le sentiment de désillusion qui suit une guerre prolongée.

Les experts soulignent également que l’impact psychologique de la guerre s’étend au-delà des troupes individuelles, affectant des communautés entières.

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