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L’Iran prédit l’émergence d’une «nouvelle résistance» en Syrie face à «Israël»

L’Iran prédit l’émergence d’une «nouvelle résistance» en Syrie face à «Israël»
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Par AlAhed avec agences

Une «nouvelle résistance» contre «Israël» va émerger en Syrie, a affirmé un haut responsable iranien.

«Non seulement la résistance face à Israël n’a pas faibli mais avec l’occupation de territoires syriens par le régime sioniste, une nouvelle résistance est née et se manifestera dans les années à venir», a estimé mardi 31 décembre le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, Ali Akbar Ahmadian, selon l’agence officielle Irna.

L’armée d’occupation «israélienne» a mené une incursion dans la zone tampon du Golan syrien, un territoire sous contrôle de l’ONU séparant la Syrie de la Palestine occupée et censé être démilitarisé en vertu d’un accord de 1974.

Déjà, le leader de la Révolution islamique d’Iran, l’imam sayyed Ali Khamenei, avait dit le 22 décembre prédire «l’émergence d’un groupe fort et honorable» de résistance en Syrie.

«Les zones occupées de la Syrie seront libérées finalement par la jeunesse syrienne zélée. N’ayez pas de doute, car cela se produira», a-t-il souligné.

«Nous prévoyons qu’un groupe fort et honorable émergera également en Syrie, car les jeunes d’aujourd’hui en Syrie n’ont plus rien à perdre. Ils doivent se dresser fermement contre ceux qui orchestrent et provoquent cette insécurité et ils doivent s’efforcer de les surmonter», a-t-il déclaré.

Pas de changement dans la doctrine nucléaire de l’Iran

En outre et dans un autre domaine, Ali Akbar Ahmadian a assuré que son pays n’avait pas changé de doctrine nucléaire, après que l’Iran a évoqué fin novembre la possibilité de se doter de l’arme atomique si les Européens réimposent des sanctions. Le responsable a fait cette déclaration lors d’une rencontre avec le ministre des Affaires étrangères d’Oman, Badr al-Boussaïdi, dont le pays a longtemps joué un rôle de médiateur entre l’Iran et les pays occidentaux, en particulier les États-Unis.

Les Iraniens défendent un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l’énergie, et nient vouloir se doter de l’arme atomique, ce dont doutent les pays occidentaux. L’Iran a accepté en décembre une surveillance accrue de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), en contrepartie de sa décision d’augmenter fortement le rythme de production d’uranium hautement enrichi.

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