Irak: La Résistance des cibles «israéliennes» clés dans les territoires occupés
Par AlAhed avec Press TV
Les combattants de la Résistance islamique en Irak ont lancé de nouvelles frappes de représailles sur des cibles «israéliennes» clés dans le nord et le sud des territoires occupés, en soutien aux populations civiles palestiniennes et libanaises.
La Résistance islamique en Irak a déclaré dans un communiqué que ses combattants ont utilisé des véhicules aériens sans pilote chargés d’explosifs samedi 16 novembre dans la matinée pour frapper une cible vitale dans la ville portuaire d’«Eilat».
«Dans la continuité de notre résistance à l’occupation, et en soutien à notre peuple en Palestine et au Liban, et en réponse aux massacres commis par l’entité usurpatrice contre des civils, dont des enfants, des femmes et des personnes âgées, les combattants de la Résistance islamique en Irak ont ??attaqué ce matin, samedi 16 novembre dans la matinée, une cible vitale à Umm Al-Rashrash [Eilat] occupée en utilisant des drones», peut-on lire dans le communiqué.
La Résistance islamique en Irak s’est engagée à poursuivre ses opérations contre des cibles «israéliennes» avec une intensité croissante.
Le groupe de résistance a également signalé une deuxième frappe de drone sur une autre cible clé située dans la même région dans les territoires occupés.
Plus tard dans la journée, la Résistance islamique en Irak a revendiqué la responsabilité de plusieurs frappes de drones contre trois positions «israéliennes» clés dans les parties nord et sud des territoires occupés.
La Résistance islamique en Irak mène de nombreuses opérations de ce type contre des cibles sensibles situées dans les territoires occupés depuis le 7 octobre 2032, lorsque «Israë» a commencé à perpétrer un génocide dans la bande de Gaza.
Au moins 43 799 Palestiniens, pour la plupart des femmes et des enfants, ont été tués dans les attaques «israélienne».
La Résistance islamique en Irak a également mené des attaques de représailles contre les bases d’occupation américaines en Irak et en Syrie voisine en raison du soutien politique, militaire et des services de renseignement débridé de Washington aux atrocités d’«Israël» à Gaza.