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Renforcement du blocus économique contre l’ennemi... «Israël» entre les feux de la mer Rouge et de l’océan Indien

Renforcement du blocus économique contre l’ennemi... «Israël» entre les feux de la mer Rouge et de l’océan Indien
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Par AlAhed

Dans le prolongement de la bataille de soutien à Gaza et au peuple palestinien qui subit un génocide depuis près de six mois, et après l'interdiction de la navigation sioniste en mer Rouge, le dirigeant du mouvement Ansarullah, sayyed Abdel-Malek el-Houthi, a annoncé une nouvelle équation yéménite frappante, consistant à empêcher les navires liés à l'ennemi israélien de traverser l'océan Indien le long de la côte proche de l'Afrique du Sud. Il s'agit d'un développement surprenant des opérations militaires menées par les forces yéménites en soutien à Gaza, reflétant le développement continu des capacités des forces yéménites, l'élargissement des objectifs et leur capacité effective à influencer cette bataille. Comment cette étreinte serrée peut-elle affecter politiquement et économiquement l'entité sioniste ?

Le vice-président du département de l'orientation morale au ministère de la Défense yéménite, Abdallah ben Amer, a affirmé dans une interview à AlAhed que «les forces armées yéménites ont dès les premiers instants de la bataille de soutien à Gaza commencé à intercepter les navires sionistes en mer Rouge, ce qui a contraint les navires de l'agresseur à changer leur itinéraire vers le cap Ras el-Raja el-Saleh, passant par le continent africain, le détroit de Gibraltar et la mer Méditerranée pour atteindre le port de Haïfa en Palestine occupée».

Il a ajouté : «Après l'évolution de la bataille qui fait rage depuis six mois, les forces armées yéménites ont décidé d'interdire la navigation israélienne dans l'océan Indien, le seul débouché pour le commerce israélien avec les pays d'Asie orientale. Cela va certainement avoir un impact économique sur l'entité sioniste, compte tenu de la confusion politique qu'elle traverse», se demandant : «Les colons pourront-ils résister à la faim comme le font les Gazaouis, ou choisiront-ils l'émigration plutôt que de rester sur une terre qui ne leur appartient pas ?» Il a affirmé : «Inévitablement, l'émigration est l'une des premières conséquences de ce blocus économique. Politiquement, nous n'avons pas besoin de prédire aujourd'hui ce que l'avenir réserve, car le mal se dévore lui-même».

Ben Amer a souligné : «Nous avons des surprises pour l'ennemi sur le terrain qui correspondent à nos capacités. Le commandement yéménite étudie plusieurs options en dehors de la mer, qui seront annoncées en temps voulu».

Il a souligné que tout est soumis à l'étude et à l'expérience sur le terrain avant de mettre en œuvre toute opération, y compris les missiles et les drones.

Concernant le volet politique, le vice-président du département de l'orientation morale au ministère de la Défense yéménite a précisé que toute décision politique prise par le Yémen à l'encontre des pays occidentaux, en tête desquels les États-Unis et le Royaume-Uni, équivaut à un traitement réciproque et est conditionnée par la poursuite de l'agression contre Gaza. Ces décisions ne seront réexaminées que si les forces d'agression cessent de tuer le peuple palestinien. Il estime que ces forces, en particulier les États-Unis, n'ont pas réussi jusqu'à présent à influencer notre soutien à Gaza et à son peuple. Au contraire, elles se sont enlisées dans divers marécages au Yémen, au Liban et en Irak.

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