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Le chef de l’AIEA à Téhéran pour tenter de relancer l’accord sur le nucléaire

Le chef de l’AIEA à Téhéran pour tenter de relancer l’accord sur le nucléaire
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Par AlAhed avec sites web

Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a entamé samedi ses entretiens à Téhéran avec des responsables iraniens, dans l'espoir de relancer l'accord conclu en 2015 entre la République islamique et les grandes puissances.

M. Grossi a rencontré dans la matinée le président de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, Mohammad Eslami, et «doit discuter ensuite avec le ministre des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian», a annoncé l'agence officielle Irna.

Il convient de mentionner que la résolution des problèmes restants entre l'Iran et l'AIEA est l'une des étapes nécessaires pour parvenir à un accord final à Vienne.

Le porte-parole de l'Organisation de l'énergie atomique a déclaré sur cette rencontre Grossi-Eslami: «On s'attend à ce que les problèmes entre l'Iran et l'AIEA dans ces pourparlers soient entièrement examinés.»

Selon l'IRNA, Behrouz Kamalvandi, porte-parole de l'Organisation de l'énergie atomique, a déclaré dans une interview : «Les négociations entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique commenceront dans quelques minutes.»

Il a poursuivi : «On s'attend à ce que les questions entre l'Iran et l'AIEA dans ces négociations soient entièrement réexaminées.»

«Je me rends aujourd’hui à Téhéran pour rencontrer des responsables iraniens et aborder des questions en suspens. Le moment est critique mais un résultat positif pour tous est possible», avait indiqué dans un tweet M. Grossi avant son départ pour l’Iran.

«Prêts à revenir»

Les diplomates européens à Vienne devaient eux retourner incessamment dans leurs capitales respectives pour des consultations, a dit vendredi la cheffe de la délégation britannique, Stephanie Al-Qaq.

«Nous sommes proches. Prêts à revenir bientôt», a-t-elle dit.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, s'est dit lui prêt à se rendre à Vienne en cas d'un «accord final», qui dépend selon lui du «respect total des lignes rouges annoncées par l'Iran, y compris des garanties sur le plan économique». Il n'a pas précisé ces garanties ou ces «lignes rouges».

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