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Sayed Khamenei: On ne peut parler aux criminels sionistes qu’avec le langage de la force

Sayed Khamenei: On ne peut parler aux criminels sionistes qu’avec le langage de la force
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Par AlAhed avec sites web

Le Leader de la Révolution islamique d'Iran, l'Ayatollah sayed Ali Khamenei, a qualifié les récents événements en Afghanistan et en Palestine occupée de deux événements amers et chagrinants dans le monde de l’Islam.

Lors d’une réunion via vidéoconférence avec des représentants des associations d’étudiants, le leader de la Révolution islamique a déclaré : «J'estime nécessaire d'exprimer ma triste émotion sur les 2 incidents sanglants dans le monde de l’Islam. Le premier concerne l'incident amer et chagrinant de l'Afghanistan et le martyre d'adolescentes opprimées qui ont été attaquées et martyrisées sans aucune culpabilité. Que Dieu maudisse ceux qui répandent le crime à un tel point qu'ils se permettent de massacrer ainsi un grand nombre de jeunes filles innocentes.»

Son Éminence a ajouté: «Le deuxième concerne les incidents liés à la Mosquée Al-Aqsa, à la Palestine et au Saint Qods. La méchanceté des sionistes s’expose devant les yeux des peuples du monde. Il est du devoir de chacun de condamner le mouvement méchant, criminel et brutal des sionistes ces derniers jours.»

Sayed Khamenei a également souligné : «Heureusement les Palestiniens sont vigilants et déterminés. Ils ont à suivre ce chemin. On ne peut parler à ces criminels qu’avec le langage de la force. Ils doivent se renforcer, se lever, se battre et forcer l’ennemi à cesser de commettre des crimes et à se rendre à la justice.»

Le leader de la Révolution, a qualifié de «très importantes» l'élection des fonctionnaires du pays par le peuple et a ajouté : «La présence enthousiaste du peuple aux élections a un grand impact sur la force et les capacités du gouvernement élu et accroîtra le prestige, la sécurité et le pouvoir dissuasif du pays.»

Après avoir plaidé pour une participation élevée aux élections, le Leader a mis l’accent sur un «choix convenable et bon» et précisé : «Il faut former un gouvernement compétent qui sait gérer et qui est plein de foi et plein d’espoir et croyant aux capacités internes, car une fois les autorités gouvernementales déçues, rien ne se passera».

Le Leader s’exprimait ce mardi 11 mai en visioconférence à l’adresse des représentants de groupes estudiantins de diverses universités iraniennes.

 

 

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