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La Turquie a désigné son nouvel ambassadeur en «Israël»

La Turquie a désigné son nouvel ambassadeur en «Israël»
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La Turquie a désigné son nouvel ambassadeur en «Israël», comme convenu par l'accord de normalisation des relations entre l’entité sioniste et la Turquie, officialisée il y a trois mois, à l'issue d'une période de brouille de six ans, a rapporté vendredi la chaîne israélienne «Arutz 2», qui cite les médias turcs.

La Turquie a désigné son nouvel ambassadeur en «Israël»

Le nouvel ambassadeur serait Kemal Okem, expert en politique étrangère, bien qu'aucune déclaration officielle n'ait confirmé la nomination.

Dans l’entité sioniste, le directeur général du «ministère des Affaires étrangères» Dore Gold va convoquer une commission pour nommer le nouvel ambassadeur israélien à Ankara après les fêtes juives, le 27 octobre, a de son côté indiqué cette semaine le site d'information «Ynet».

Les deux parties doivent annoncer officiellement les noms des nouveaux ambassadeurs en même temps, selon le site.

Le retour des ambassadeurs respectifs, qui avaient été rappelés, même si les relations formelles entre «Israël» et la Turquie n'ont jamais été complètement rompues, est le dernier volet de l'accord de normalisation des relations entre les deux parties, officialisée il y a trois mois, à l'issue d'une période de brouille de six ans.

Les relations entre les anciens alliés ont presque été rompues en 2010 suite au raid d'un commando israélien contre une flottille turque qui tentait de briser blocus israélien imposé à la bande de Gaza.

Le raid, au cours duquel des soldats de l’occupation israélienne avaient été attaqué des militants à bord du navire Mavi Marmara, s'est soldé par la mort de 10 Turcs.

Le mois dernier, «Israël» a versé 20 millions de dollars en indemnités à la Turquie, comme prévu par l'accord. Le gouvernement turc doit désormais verser l'argent aux familles des victimes de l'assaut israélien.

En contrepartie, Ankara abandonne les poursuites contre les ex-chefs de l'armée israélienne pour leur implication dans l'assaut.

Outre les excuses et un allégement du blocus israélien imposé à la bande de Gaza, la compensation financière était l'un des éléments clés réclamés par Ankara pour s'engager dans une normalisation de ses relations diplomatiques avec «Israël».

L'accord de réconciliation a été encouragé par les Etats-Unis, désireux de voir son allié à l'OTAN retrouver sa relation étroite avec «Israël».

Source: agences et rédaction

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