Al Qods occupée: des colons vandalisent un cimetière et un monastère chrétiens
Des colons israéliens ont vandalisé dans la nuit de mardi à mercredi un monastère et un cimetière d'al Qods occupée (Jérusalem). Il s'agit de la septième attaque contre ces lieux de culte chrétiens. L’intolérance des autorités israéliennes encourage les crimes de haine des colons contre les Palestiniens et leurs lieux de culte.
Les colons ont inscrit des inscriptions anti-chrétiennes en hébreu sur les portes de l'entrée du cimetière arménien et sur les murs d'un monastère appartenant à l'Eglise grecque orthodoxe. Des graffitis "prix à payer" et "Joyeux Hanouka"-en allusion à la fête juive de "Hanouka" célébrée cette semaine- avaient été également apposés. De même, les pneus de trois voitures ont été crevés près du monastère.
Des colons mènent depuis des années une politique dite du "prix à payer", consistant à se venger sur des villageois palestiniens et des lieux de culte musulmans et chrétiens, des décisions gouvernementales qu'ils jugent "hostiles à leurs intérêts".
La police israélienne a dit avoir ouvert une enquête sur les trois attaques. Dans un communiqué, le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a affirmé que "la liberté de culte pour toutes les religions en Israël sera préservée et nous poursuivrons en justice les personnes immorales qui ont commis ces actes". Cependant, malgré les condamnations systématiques de tels actes par les autorités israéliennes, leurs auteurs sont rarement appréhendés et traduits en justice.
Source: agences, édité par: moqawama.org
Les colons ont inscrit des inscriptions anti-chrétiennes en hébreu sur les portes de l'entrée du cimetière arménien et sur les murs d'un monastère appartenant à l'Eglise grecque orthodoxe. Des graffitis "prix à payer" et "Joyeux Hanouka"-en allusion à la fête juive de "Hanouka" célébrée cette semaine- avaient été également apposés. De même, les pneus de trois voitures ont été crevés près du monastère.
Des colons mènent depuis des années une politique dite du "prix à payer", consistant à se venger sur des villageois palestiniens et des lieux de culte musulmans et chrétiens, des décisions gouvernementales qu'ils jugent "hostiles à leurs intérêts".
La police israélienne a dit avoir ouvert une enquête sur les trois attaques. Dans un communiqué, le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a affirmé que "la liberté de culte pour toutes les religions en Israël sera préservée et nous poursuivrons en justice les personnes immorales qui ont commis ces actes". Cependant, malgré les condamnations systématiques de tels actes par les autorités israéliennes, leurs auteurs sont rarement appréhendés et traduits en justice.
Source: agences, édité par: moqawama.org