Cessez-le-feu entre le Hamas et "Israël" après une semaine d’offensive à Gaza
Un accord de cessez-le feu dans la bande de Gaza a été conclu entre l'entité sioniste et le mouvement de Résistance palestinienne Hamas, mettant terme à une semaine de raids aériens meurtriers sur Gaza, ayant couté la vie à 155 Palestiniens dont la majorité écrasante sont des civils, des enfants et des femmes. Le cessez-le-feu était respecté jeudi 22 novembre au matin dans la bande de Gaza.
Obtenue après des efforts diplomatiques tous azimuts notamment de l'Egypte et des Etats-Unis, la trêve est entrée en vigueur à 20 heures selon le texte de l'accord annoncé au Caire par le chef de la diplomatie égyptienne Mohammed Kamel Amr au côté de son homologue américaine Hillary Clinton. Les efforts de l'Egypte ont permis "un accord sur un cessez-le-feu qui prend effet à 21 heures (20 heures à Paris)", a dit le ministre égyptien, dont le pays a joué un rôle-clé dans son élaboration.
Agir sérieusement
A Jérusalem, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a annoncé "avoir accepté de donner une chance" à la proposition égyptienne après avoir parlé avec le président américain Barack Obama. Ce dernier a remercié aussi bien le président égyptien Mohamed Morsi que Benjamin Netanyahu, et énoncé l'objectif de parvenir à une paix "durable" dans l'enclave palestinienne frontalière de l'Egypte et d'"Israël".
Arrêt des assassinats ciblés
Selon les termes de l'accord, tel que diffusé par la présidence égyptienne, "Israël doit cesser toutes les hostilités par voie terrestre, aérienne et maritime dans Gaza, y compris les incursions et la prise de personnes pour cible". A leur tour, "l'ensemble des factions palestiniennes doivent stopper les hostilités vers Israël, y compris les attaques de roquettes et toutes les attaques le long de la frontière". L'accord prévoit aussi l'ouverture de discussions 24 heures après l'entrée en vigueur de la trêve sur des "mesures permettant d'ouvrir les points de passage avec Gaza et visant à faciliter la circulation des personnes et des biens". Gaza est soumise à un blocus israélien depuis plusieurs années.
Pressé par les Occidentaux d'aider à obtenir une trêve, Mohamed Morsi a mené une médiation depuis l'offensive militaire israélienne lancée le 14 novembre contre Gaza avec la mort du chef des opérations militaires du Hamas Ahmed Jaabari tué dans un raid aérien israélien.
Le Caire a été la plaque tournante des efforts diplomatiques avec la visite de Hillary Clinton, du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, des responsables turc, allemand et du Qatar. Ban Ki-Moon ainsi que l'Union européenne ont salué l'accord de trêve.
Source : nouvelobs.com
Obtenue après des efforts diplomatiques tous azimuts notamment de l'Egypte et des Etats-Unis, la trêve est entrée en vigueur à 20 heures selon le texte de l'accord annoncé au Caire par le chef de la diplomatie égyptienne Mohammed Kamel Amr au côté de son homologue américaine Hillary Clinton. Les efforts de l'Egypte ont permis "un accord sur un cessez-le-feu qui prend effet à 21 heures (20 heures à Paris)", a dit le ministre égyptien, dont le pays a joué un rôle-clé dans son élaboration.
Agir sérieusement
A Jérusalem, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a annoncé "avoir accepté de donner une chance" à la proposition égyptienne après avoir parlé avec le président américain Barack Obama. Ce dernier a remercié aussi bien le président égyptien Mohamed Morsi que Benjamin Netanyahu, et énoncé l'objectif de parvenir à une paix "durable" dans l'enclave palestinienne frontalière de l'Egypte et d'"Israël".
Arrêt des assassinats ciblés
Selon les termes de l'accord, tel que diffusé par la présidence égyptienne, "Israël doit cesser toutes les hostilités par voie terrestre, aérienne et maritime dans Gaza, y compris les incursions et la prise de personnes pour cible". A leur tour, "l'ensemble des factions palestiniennes doivent stopper les hostilités vers Israël, y compris les attaques de roquettes et toutes les attaques le long de la frontière". L'accord prévoit aussi l'ouverture de discussions 24 heures après l'entrée en vigueur de la trêve sur des "mesures permettant d'ouvrir les points de passage avec Gaza et visant à faciliter la circulation des personnes et des biens". Gaza est soumise à un blocus israélien depuis plusieurs années.
Pressé par les Occidentaux d'aider à obtenir une trêve, Mohamed Morsi a mené une médiation depuis l'offensive militaire israélienne lancée le 14 novembre contre Gaza avec la mort du chef des opérations militaires du Hamas Ahmed Jaabari tué dans un raid aérien israélien.
Le Caire a été la plaque tournante des efforts diplomatiques avec la visite de Hillary Clinton, du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, des responsables turc, allemand et du Qatar. Ban Ki-Moon ainsi que l'Union européenne ont salué l'accord de trêve.
Source : nouvelobs.com