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Les forces ’israéliennes’ se retirent de plusieurs lieux qu’elles avaient occupés dans le sud de la Syrie

Les forces ’israéliennes’ se retirent de plusieurs lieux qu’elles avaient occupés dans le sud de la Syrie
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Par AlAhed avec PressTV

Les forces "israéliennes", qui avaient étendu leur occupation en Syrie depuis la chute du gouvernement de Bachar al-Assad, se retirent de plusieurs positions stratégiques à Quneitra, dans le sud-ouest du pays.

Selon certaines informations, les troupes d’occupation se sont retirées des « bâtiments provinciaux et judiciaires » de la ville d’al-Baath, dans le centre de la même province.

Al Jazeera rapporte que les forces "israéliennes" se sont également partiellement retirées des environs du barrage d’al-Mantara et de la ville d’al-Qahtaniyah situés dans la banlieue de Quneitra.

Le quotidien américain, The Washington Post a affirmé dimanche que l'armée d'occupation israélienne avait établi deux bases militaires dans des zones des hauteurs du Golan syrien qui ne sont pas occupées, tout en affirmant que sa présence dans la région serait « temporaire ».

Ce retrait a coïncidé avec le déplacement d’Abou Mohammad al-Joulani, un ancien chef de groupe armé qui s’est autoproclamé « président » de la Syrie, à Riyad, la capitale de l’Arabie saoudite.

Ce voyage, le premier déplacement à l’étranger d’al-Joulani, a été marqué par un accueil en grande pompe du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume.

Al-Joulani, un ancien commandant d’Al-Qaïda, a pris le contrôle de la Syrie à la tête de son groupe "Hayat Tahrir al-Cham (HTC)" au milieu des frappes israéliennes intensives à travers le pays en décembre dernier.

Malgré les lourdes pertes infligées aux infrastructures civiles et militaires syriennes par les attaques "israéliennes", al-Joulani a déclaré qu’il ne cherchait aucune confrontation avec l’entité sioniste.

Le retrait israélien a également eu lieu après l’émergence d’un nouveau groupe de résistance dans le pays arabe, qui a promis de mener des frappes « surprises » contre les forces d’occupation israéliennes et les « gangs terroristes » d’al-Joulani.

Le Front de résistance islamique en Syrie (FRIS) a annoncé son émergence, vendredi dans un communiqué, revendiquant avoir déjà mené une frappe contre les troupes "israéliennes" dans la province de Quneitra, à l’extrême sud-ouest du pays.

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