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Maroc: Des manifestations dans 48 villes pour dénoncer les crimes «israéliens» à Gaza

Maroc: Des manifestations dans 48 villes pour dénoncer les crimes «israéliens» à Gaza
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Par AlAhed avec sitess web

Les Marocains sont descendus vendredi dans la rue à travers le pays pour dénoncer les crimes perpétrés par «Israël» et exiger la fin de la guerre dans la bande de Gaza.

Sous la bannière «Stop au génocide à Gaza», des milliers de personnes se sont rassemblées sur les places publiques en réponse aux appels des organisations de la société civile, notamment de la Commission marocaine pour la défense des causes de la nation.

Les manifestants qui brandissaient des drapeaux palestiniens et portaient des keffieh, symbole du nationalisme palestinien, scandaient des slogans en condamnation du blocus de Gaza et du massacre des civils.

Ils ont exprimé leur solidarité avec le peuple de Gaza, condamné l'agression «israélienne» et dénoncé le soutien apporté par les États-Unis à l’entité sioniste.

Les rassemblements ont été organisés dans quarante-huit villes du Maroc, dont Aït Melloul (centre), Chaouen, Tétouan, Fès, Meknès, al-Hoceïma, (nord) Casablanca, el-Jadedeh (ouest), Berkane, Aklim, Ahfir, et Oujda (est).

Cela fait plus d'un an que les Marocains organisent des manifestations pro-palestiniennes dans différentes villes du pays, notamment Rabat.

Les protestataires exigent la fin du blocus de Gaza, l’envoi de l’aide humanitaire et l’abolition de la normalisation des relations entre Rabat et l’entité «israélienne».

Soutenu par les États-Unis et leurs alliés occidentaux, «Israël» a lancé une guerre génocidaire contre Gaza le 7 octobre 2023, qui a fait jusqu’à présent plus de 44 360 martyrs palestiniens et en a blessé 105 000 autres, pour la plupart des femmes et des enfants.

Les attaques «israéliennes» ont entraîné des destructions massives et une crise humanitaire dans la zone assiégée. 

En dépit de l’émission par la Cour pénale internationale (CPI) des mandats d’arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité contre le «Premier ministre israélien» Benjamin Netanyahu et son ancien ministre de la Guerre, Yoav Gallant, l’entité «israélienne» poursuit ses attaques meurtrières contre la bande de Gaza.

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