Par AlAhed avec PressTV

Les forces armées yéménites et la Résistance islamique en Irak ont ??mené une nouvelle opération conjointe contre l’entité israélienne en représailles au génocide à Gaza.

Les forces armées du Yémen ont confirmé vendredi matin dans un communiqué, qu’une «cible israélienne vitale» avait été touchée dans la ville portuaire occupée d’Umm al-Rashrash, également connue sous le nom d’«Eilat».

Les combattants de Résistance ont réussi à atteindre, avec précision, la cible avec plusieurs drones.

Les forces armées yéménites ont souligné qu’elles poursuivraient ces opérations militaires conjointes jusqu’à ce que l’agression «israélienne» à Gaza cesse et que le siège imposé au peuple palestinien soit levé.

Le leader de la Résistance yéménite, a réitéré que la bataille contre «Israël» était désormais à son apogée après l’assassinat par l’entité sioniste du chef du bureau politique du mouvement de résistance palestinien Hamas, Ismaïl Haniyeh, et du commandant du Hezbollah libanais, Fouad Chokor.

«Le crime commis par l’entité sioniste qui a assassiné le chef du bureau politique du Hamas Ismaïl Haniyeh et le commandant du Hezbollah libanais Fouad Chokor a eu un impact considérable sur la situation dans la région», a réaffirmé sayyed Abdel Malik al-Houthi jeudi dans l’après-midi.

Le leader d’Ansarullah a affirmé que les récents assassinats ont eu un impact significatif sur toute l’Asie de l’Ouest.

Depuis le début de la guerre génocidaire d’«Israël» contre la bande de Gaza en octobre, les combattants yéménites ont multiplié leurs opérations en soutien à l’enclave palestinienne, frappant des cibles dans l’ensemble des territoires occupés de la Palestine.

Ils ont également ciblé des navires israéliens ou des bateaux se dirigeant vers les ports dans des territoires occupés de la Palestine.

Les attaques ont contraint certaines des plus grandes compagnies maritimes et pétrolières du monde à suspendre le transit sur l’une des routes commerciales maritimes les plus importantes de la planète.

Les pétroliers parcourent désormais des milliers de kilomètres supplémentaires sur les voies maritimes internationales pour contourner le continent africain au lieu d’emprunter le canal de Suez.