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Cheikh Qassem: «Israël» n’est pas en mesure d’imposer au Liban ses conditions

Cheikh Qassem: «Israël» n’est pas en mesure d’imposer au Liban ses conditions
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Par AlAhed avec AFP

Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Qassem, a affirmé dimanche qu'«Israël n'était pas en mesure d'imposer ses conditions» sur la présence de la Résistance islamique à la frontière libano-palestinienne.

La frontière sud du Liban est le théâtre d'échanges de tirs, principalement entre l'armée d’occupation israélienne et le Hezbollah, depuis le déclenchement le 7 octobre de la guerre israélienne contre la bande de Gaza, faisant craindre une extension du conflit.

L'armée d’occupation israélienne a évacué des milliers de colons vivant le long de la frontière nord avec le Liban, et «Israël» tente d'éloigner le Hezbollah en le repoussant au nord du fleuve Litani, à au moins 30 kilomètres au nord de la frontière.

«Israël fait des propositions (...) et essaie de faire croire qu'il a des options» pour aider au retour des colons israéliens déplacés et éloigner de la frontière les combattants du Hezbollah, a déclaré le cheikh Qassem.

Mais «Israël n'est pas en mesure d'imposer ses options», a-t-il souligné en précisant qu'«Israël devait d'abord arrêter la guerre à Gaza» pour que les hostilités avec le Liban «cessent».

«Les bombardements persistants de civils au Liban signifient que la réponse sera plus forte et proportionnelle à l'agression israélienne», a mis en garde le secrétaire général adjoint du Hezbollah.

Depuis le début des violences transfrontalières, plus de 160 personnes ont été tombées en martyre au Liban, pour la plupart des combattants de la Résistance islamique mais aussi plus de 20 civils parmi lesquels trois journalistes, selon un décompte de l'AFP.

En Entité israélienne, au moins cinq colons et neuf soldats ont été tués, selon l'armée d’occupation.

Ces violences font craindre une extension du conflit et un embrasement régional.

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