De sérieux efforts sont déployés pour établir un le cessez-le-feu permanant à Gaza, affirme Kanaani
Par AlAhed avec Irna
«L’Iran poursuit ses efforts pour mettre fin à l’agression israélienne contre la bande de Gaza», a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani.
Lors de sa conférence de presse hebdomadaire avec les journalistes, ce lundi matin (27 novembre) Nasser Kanaani a affirmé que «l'Iran réclame la fin de la guerre contre Gaza et poursuit ses consultations au plus haut niveau avec d'autres responsables de différents pays et le secrétaire général de l'ONU.»
Concernant la poursuite de la trêve à Gaza et les efforts de l'Iran à cet égard, Kanaani a précisé : «Lors de la récente visite du ministre iranien des Affaires étrangères, la question de la trêve a été discutée avec les autorités qataries, et l'un des principaux objectifs est de stabiliser la trêve humanitaire à Gaza.»
Et de poursuivre : «Sur la base des informations dont nous disposons, le gouvernement du Qatar fait de sérieux efforts pour établir un le cessez-le-feu permanant à Gaza.»
«Le rôle du gouvernement américain dans la région a toujours contribué à l'instabilité et à l'insécurité, et la présence de la flotte américaine dans la région s'inscrit dans le cadre du soutien continu du régime sioniste» a-t-il indiqué.
«L’Iran s’engage en faveur de la sécurité et de la stabilité dans la région et a toujours joué un rôle positif à cet égard. L’opinion publique mondiale ne se laissera plus tromper par certaines fausses accusations des États-Unis contre l’Iran», a souligné le porte-parole de la diplomatie iranienne.
Concernant les attaques contre certaines bases américaines dans la région par des groupes de Résistance, Kanaani a déclaré :« Nous avons annoncé, à plusieurs reprises, que nous n'y jouions aucun rôle, et ces actes s’inscrivent dans la réaction naturelle du peuple et des groupes de Résistance, au rôle non constructif et illégal des États-Unis dans son soutien à l’entité sioniste, ainsi qu’à sa présence illégale sur le territoire de certains pays de la région, dont la Syrie.»