Commandant du CGRI : Sayyed Khamenei a dirigé l’Iran avec succès au milieu des sanctions et des séditions
Par AlAhed avec PressTV
Le Leader de la Révolution islamique sayyed Ali Khamenei a géré avec succès le pays au milieu des sanctions économiques et des séditions ces quatre dernières décennies, a déclaré le commandant en chef du CGRI le général de division Hossein Salami.
Le général de division Hossein Salami, commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), a déclaré samedi lors de l'Assemblée suprême des commandants et responsables du CGRI : «La gestion et les conseils intelligents et pleins de tact de l'Ayatollah Khamenei ont aidé l'Iran islamique à surmonter les sanctions, les menaces, les pressions économiques, les séditions majeures et la guerre des nerfs.»
Il a également apprécié la position du Leader de la Révolution face aux arrogants et aux ennemis.
L'Ayatollah Khamenei, a-t-il ajouté, a renforcé l'esprit du jihad (combat pour l'amour de Dieu) parmi les musulmans du monde entier.
Les ennemis en déclin
Le général Salami a également souligné que les ennemis se sont affaiblis alors que l'Iran et l'axe de la Résistance se sont renforcés au cours des 45 dernières années.
«Aujourd'hui, les États-Unis sont plus en déclin que jamais et l'ennemi est au comble de sa faiblesse», a-t-il déclaré, avant de poursuivre : «Israël est également plus faible qu'en 1967, alors que le Hezbollah se révèle plus fort avec des équipements et des outils plus performants.»
«La Révolution islamique et l'axe de la Résistance ont pris le dessus sur les États-Unis, l'usurpateur qu'est Israël et leurs alliés dans la région. Cela a été possible grâce à la sagesse et au discernement du Leader de la Révolution Islamique ainsi qu'aux efforts et à la persévérance de l'Ummah Islamique.»
Le commandant en chef du CGRI a également déclaré que l'Ayatollah Khamenei avait placé les États-Unis dans «une impasse stratégique», arguant que l'ennemi sait qu'il sera vaincu avec ou sans sanctions contre l'Iran.
Washington a imposé de sévères sanctions économiques à Téhéran en mai 2018 après son retrait unilatéral de l'accord nucléaire de 2015, également connu sous le nom de Plan global d’action conjoint (PGAC).
En réponse à la campagne américaine de «pression maximale», la République islamique a adopté la politique de «résistance maximale» pour surmonter les effets des sanctions illégales par l'autosuffisance.
La plus grande force antiterroriste au monde
Dans une autre partie de son discours, le général de division Salami a apprécié la «brillante performance» du CGRI depuis sa création après la Révolution islamique de 1979.
Dans un discours prononcé jeudi 17 août, l'Ayatollah Khamenei a salué le CGRI comme «la plus grande force antiterroriste au monde», capable d'accomplir des tâches que de nombreuses grandes armées du monde sont incapables d'accomplir.