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Le terme «guerre civile» de plus en plus utilisé sur les «réseaux sociaux israéliens»

Le terme «guerre civile» de plus en plus utilisé sur les «réseaux sociaux israéliens»
folder_openŒIL SUR L'ENNEMI access_timedepuis un année
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Par AlAhed avec sites web

L'utilisation du terme «guerre civile» a bondi sur les «réseaux sociaux israéliens» ces derniers jours, avec une hausse de quelque 9 000 % observée par le «Jewish People Policy Institute».

L'éventualité d'une «guerre civile» a été évoquée de tous les côtés de «l'échiquier politique israélien» depuis la prestation de serment du nouveau «gouvernement», les politiciens accusant leurs adversaires d'être à l'origine du conflit.

Selon l'institut sioniste, c'est sur Twitter, plateforme privilégiée des fan de politique, que la hausse est la plus notable.

Le terme a été utilisé dix fois le 3 janvier et 4 531 fois le 10 janvier.

«La société israélienne est fracturée, son arène politique polarisée et agressive, ce qui rend la +démocratie israélienne+ faible», a déclaré Shuki Friedman, vice-président du «Jewish People Policy Institute».

«Le discours conflictuel amène le pays au bord du gouffre. Les politiques et les dirigeants doivent agir de manière responsable pour empêcher une détérioration supplémentaire, mais chaque Israélien qui participe aux conversations en ligne en utilisant des termes aussi provocateurs doit également assumer sa responsabilité», a-t-il estimé.

Depuis l'arrivée au pouvoir du «gouvernement» de Benjamin Netanyahu et l'annonce de la «réforme du système judiciaire», les «politiques israéliens» et les membres de «l'appareil judiciaire», anciens et actuels, ainsi que de nombreuses autres personnes, ont dénoncé les tentatives visant à «perturber la séparation des pouvoirs en Israël».

Ils ont également critiqué les provocations du nouveau «ministre de la Sécurité nationale», Itamar Ben Gvir, qui a déclaré qu'il donnerait l'ordre à la police d’occupation israélienne d'utiliser des mesures sévères contre les manifestants.

Le Premier ministre n’a toutefois pas laissé entrevoir la possibilité d’une marche arrière sur l’une ou l’autre des mesures annoncées.

Lui et ses partenaires de coalition ont déclaré dimanche qu'ils étaient soutenus par des millions d'électeurs qui ont voté en faveur des changements annoncés par le «gouvernement» et qui leur ont été présentés avant le «scrutin» de novembre dernier.

Ils ont en outre accusé leurs adversaires politiques et ce qu'ils ont décrit comme les «tribunaux de gauche», d'«inciter à la dissidence civile».

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