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Malgré la fin de leurs peines:"Israël" punit les détenus palestiniens en les déportant ou les réemprisonnant

Malgré la fin de leurs peines:
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"Le combattant illégal" s'avère une nouvelle allégation sioniste pour châtier les captifs palestiniens même après qu'ils aient achevé leurs peines.
Le détenu palestinien libéré Tarek Aouni el Issawi est l'une des victimes de cette loi raciste. Malgré la fin de sa peine d'emprisonnement de 5 ans, Tarek a été incarcéré pour 7 mois de plus.
"J'étais détenu le 8 février 2004. Il fallait que je sortais du prison le 15 séptembre 2009. Néanmoins, les forces de l'occupation ont refusé de me libérer avec l'abscence de tout argument pour une autre peine" souligne Tarek. 
De sa part, le responsable médiatique du haut comité des détenus Riyad el Achkar a souligné "qu'avec la libération du Tarek, les détenus palestiniens classifiés sous titre combattant illégal sont au nombre de 8, tous originaires de Gaza".
El Achkar a réclamé une intervention internationale pour presser sur "Israël" afin qu'il abolisse cette "injuste loi" qui punit le détenu une seconde fois et viole toutes les conventions internationales.

L'ancien détenu Raafat Hamdouna a, de son côté, souligné que cette "loi" cosntitue une violation grave des conventions internationales des droits de l'Homme notamment la quatrième convention de Genève qui dispose la protection des civils dans les zones de guerre.
"L'expression combattant illégal dénue le prisonnier de ses moindres droits et à leur tête le droit de se défendre" souligna Hamdouna. 

De fait, la soi disant loi du "combattant illégal" ne s'avère pas l'unique loi qui punit les détenus palestiniens. A elle s'ajoute une autre loi raciste portant le numéro (1650) qui dipose la déportation des milliers de Palestiniens sous prétexte qu'ils sont des "infiltrés".
Le détenu libéré Ahmad Sabbah est la première victime de cette loi raciste. Récemment libéré de la prison de Neguev après une détention de 10 ans, Ahmad a choisi d'effectuer un sit in dans une tente dressée face au passage de Beit Yahoun pour contester cette décision et corroborer son droit au retour à sa ville natale pour voir son unique fils "Yazan". 

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