Conférence des vrais Amis de la Syrie en Iran : armement des rebelles condamné
Sous le slogan «la solution politique, la stabilité régionale», l'Iran a tenu une conférence internationale des «vrais Amis de la Syrie» en présence d'une quarantaine de représentants des pays et d'organisations internationales de quatre coins du monde.
«L'Iran condamne le financement de l'opposition armée en Syrie et son approvisionnement en armes, qui ne fait qu'aggraver le conflit», a déclaré mercredi le chef de la diplomatie iranienne Ali-Akbar Salehi au terme de la conférence.
«Les parties prétendant intervenir pour la démocratie et soutenir le peuple syrien doivent faire en
sorte que ce peuple puisse décider démocratiquement de son avenir et tenir des élections», a souligné le ministre.
Et d'ajouter que l'Iran rejetait toute ingérence extérieure, d'autant plus militaire, dans le conflit syrien et soutenait la convocation d'une conférence à Genève et les efforts déployés par le secrétaire général de l'Onu en vue d'un règlement pacifique en Syrie.
Des représentants de 40 Etats, dont l'Irak et l'Algérie, ainsi que des délégations de l'Onu et d'ONG internationales ont participé à cette conférence. L'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie se sont abstenus d'y prendre part, bien que l'Iran les aient invités. Selon M. Salehi, le gouvernement et l'opposition syriens n'y étaient pas invités pour permettre aux participants de s'exprimer en toute transparence.
Au l'ouverture des travaux de la conférence, le diplomate iranien avait déclaré que Téhéran a proposé une initiative en six points pour une solution politique en Syrie.
«L'initiative prévoit entre autres l'arrêt immédiat de la violence, l'ouverture d'un dialogue national et la tenue des élections législatives libres», a-t-il précisé.
«Téhéran en tant que partie de la solution du conflit syrien soutient les efforts de Moscou dans ce cadre», a-t-il souligné.
Source : agences et rédaction
«L'Iran condamne le financement de l'opposition armée en Syrie et son approvisionnement en armes, qui ne fait qu'aggraver le conflit», a déclaré mercredi le chef de la diplomatie iranienne Ali-Akbar Salehi au terme de la conférence.
«Les parties prétendant intervenir pour la démocratie et soutenir le peuple syrien doivent faire en
sorte que ce peuple puisse décider démocratiquement de son avenir et tenir des élections», a souligné le ministre.Et d'ajouter que l'Iran rejetait toute ingérence extérieure, d'autant plus militaire, dans le conflit syrien et soutenait la convocation d'une conférence à Genève et les efforts déployés par le secrétaire général de l'Onu en vue d'un règlement pacifique en Syrie.
Des représentants de 40 Etats, dont l'Irak et l'Algérie, ainsi que des délégations de l'Onu et d'ONG internationales ont participé à cette conférence. L'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie se sont abstenus d'y prendre part, bien que l'Iran les aient invités. Selon M. Salehi, le gouvernement et l'opposition syriens n'y étaient pas invités pour permettre aux participants de s'exprimer en toute transparence.
Au l'ouverture des travaux de la conférence, le diplomate iranien avait déclaré que Téhéran a proposé une initiative en six points pour une solution politique en Syrie.
«L'initiative prévoit entre autres l'arrêt immédiat de la violence, l'ouverture d'un dialogue national et la tenue des élections législatives libres», a-t-il précisé.
«Téhéran en tant que partie de la solution du conflit syrien soutient les efforts de Moscou dans ce cadre», a-t-il souligné.
Source : agences et rédaction
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