Universités britanniques : Vote de boycott contre "Israël"
Les étudiants de l'Université d'Oxford vont voter cette semaine une motion de boycott d'"Israël", à la suite d'un débat impliquant le député George Galloway.
Les membres de l'Union des étudiants de l'Université d'Oxford vont voter sur l'opportunité ou non de soutenir la participation de l'université à un boycott à l'échelle de la Grande-Bretagne, proposé par les universités britanniques du pays. S'il est approuvé en avril, le boycott appellera les établissements d'enseignement supérieur britanniques à se départir de leur propriété israélienne, à refuser d'acheter des produits israéliens et à s'abstenir d'investir en "Israël", en raison de la politique de ce dernier envers la Palestine occupée.
La sécurité de l'Université a déclaré que les membres responsables de l'Université d'Oxford qui ont suggéré que la proposition soit votée ont reçu des menaces par mails.
Mercredi dernier, le Christ Church College d'Oxford a été le théâtre de la sortie d'un débat du député écossais George Galloway, défenseur ardent de la cause palestinienne qui ne reconnait pas l'existence de l'entité sioniste. Lorsqu'il a découvert que son adversaire dans le débat était un citoyen israélien, Galloway a mis fin à la discussion.
George Galloway, député du Parti du Respect :
"Vous avez dit "nous", êtes-vous Israélien?"
Eylon Aslan-Levy, étudiant israélien :
"Je le suis, oui."
George Galloway, député du Parti du Respect :
"Je ne discute pas avec les Israéliens. J'ai été induit en erreur, désolé."
"Je ne reconnais pas Israël, et je ne débats pas avec les Israéliens."
Les étudiants d'Oxford ont traité Galloway de "raciste" alors qu'il quittait la salle. L'Union des étudiants a déclaré ensuite que les universités auront deux semaines supplémentaires pour débattre de la motion.
Source: divers, édité par moqawama.org
Les membres de l'Union des étudiants de l'Université d'Oxford vont voter sur l'opportunité ou non de soutenir la participation de l'université à un boycott à l'échelle de la Grande-Bretagne, proposé par les universités britanniques du pays. S'il est approuvé en avril, le boycott appellera les établissements d'enseignement supérieur britanniques à se départir de leur propriété israélienne, à refuser d'acheter des produits israéliens et à s'abstenir d'investir en "Israël", en raison de la politique de ce dernier envers la Palestine occupée.
La sécurité de l'Université a déclaré que les membres responsables de l'Université d'Oxford qui ont suggéré que la proposition soit votée ont reçu des menaces par mails.
Mercredi dernier, le Christ Church College d'Oxford a été le théâtre de la sortie d'un débat du député écossais George Galloway, défenseur ardent de la cause palestinienne qui ne reconnait pas l'existence de l'entité sioniste. Lorsqu'il a découvert que son adversaire dans le débat était un citoyen israélien, Galloway a mis fin à la discussion.
George Galloway, député du Parti du Respect :
"Vous avez dit "nous", êtes-vous Israélien?"
Eylon Aslan-Levy, étudiant israélien :
"Je le suis, oui."
George Galloway, député du Parti du Respect :
"Je ne discute pas avec les Israéliens. J'ai été induit en erreur, désolé."
"Je ne reconnais pas Israël, et je ne débats pas avec les Israéliens."
Les étudiants d'Oxford ont traité Galloway de "raciste" alors qu'il quittait la salle. L'Union des étudiants a déclaré ensuite que les universités auront deux semaines supplémentaires pour débattre de la motion.
Source: divers, édité par moqawama.org