Sayed Nasrallah : Le temps de la libération d’alQods est plus proche que jamais
A l'ouverture du congrès sur «la proclamation d'al Qods capitale de la Palestine, des arabes et musulmans », tenu ce dimanche matin à Beyrouth, le secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah a pris la parole devant un rassemblement d'oulémas religieux sunnites, chiites et chrétiens, et en présence de partisans libanais et palestiniens.
Dans son allocution, Sayed Nasrallah a considéré que la ville d'alQods est une ville sainte, située aussi sur une terre sainte. « Elle est vivante dans les esprits et les consciences de tous les êtres humains croyant aux religions célestes », a-t-il dit, ajoutant qu'il n'y a pas de ville semblable à alQods sur toute la planète.
Déplorant le fait que la ville sainte est toujours soumise à l'occupation et qu'elle
a été proclamée capitale éternelle d'une entité terroriste, il a mis en garde des tentatives en cours visant à la proclamer capitale éternelle des juifs du monde.
Sayed Nasrallah a rappelé que la ville sainte était tout au long de l'histoire l'axe central des conflits dans la région, citant les accords de Saxe-Pico et les accords de partition de la Palestine visant à mettre la main sur la terre sainte. Mais il a toutefois assuré que les peuples arabo-islamiques continueront à empêcher la réalisation de tout projet de division de la terre sainte.
Partant du slogan « Dites-moi où se trouve alQods (dans le conscient collectif : ndlr), je vous dis où sera le devenir de la région », le secrétaire général du Hezbollah a mis en garde contre le projet le plus dangereux qui menace aujourd'hui alQods, à savoir : la judaïsation de la ville sainte. « Cette campagne organisée met en danger la ville sainte et la menace de destruction. Ses habitants en sont expulsés pour vider la capitale des musulmans et des chrétiens et pour détruire leurs lieux saints », s'est-il alarmé.
Tout en mettant en garde contre le vrai défi qui menace le sort de la ville sainte, Sayed Nasrallah a rappelé les responsabilités de chacun de nous. « Chaque musulman et chrétien assument une responsabilité religieuse face à la protection de cette ville historique et à son sort. Nous croyons au jour du Jugement dernier. Nous croyons au jugement des personnes et au jugement des nations. Nous serons interrogés sur ce que nous avons fait pour alQods. Toutes les générations doivent assumer donc leur responsabilité et préserver alQods. Elles seront toutes interrogées sur ce qu'elles ont fait pour alQods ».
Rappelant qu'il appartient avec ses confrères à la génération ayant succédé à celle qui fut responsable de la perte d'alQods, le numéro Un du Hezbollah a mis tout le monde devant ses responsabilités. « Nous serons interrogés le Jour du jugement des raisons pour lesquelles nous n'avons pas libéré alQods. Chacun de nous sera interrogé le jour du jugement sur ses responsabilités. Le devoir et la responsabilité imposent à la nation d'œuvrer pour sa libération », a-t-il dit.
Et Sayed d'énumérer les devoirs de la nation envers la ville sainte : défendre les lieux saints dans la ville, protéger la population palestinienne contre les expulsions sionistes, et empêcher la judaïsation d'alQods.
«Plusieurs congrès ont eu lieu à Téhéran et ailleurs, il n'y a aucun manque au niveau des programmes d'action pour la cause palestinienne. Mais notre devoir qui incombe à nous tous est d'œuvrer pour libérer la Palestine », a-t-il insisté.
Abordant les différentes options et choix politiques concernant alQods, Sayed Hassan Nasrallah a qualifié d'irréaliste le choix des négociations avec l'ennemi. « Négocier avec l'ennemi sur la restitution d'une partie de la terre de la Palestine ou sur le retour des réfugiés ne comprendra certes pas de négociations sur alQods parce que l'ennemi refuse de renoncer à cette ville et veut faire d'elle sa capitale éternelle. De plus, l'administration américaine soutient fortement l'entité sioniste dans son projet, et les pays arabes alliés de cette administration n'ont même pas réussi à arracher un mot de soutien des Américains sur cette cause », a-t-il estimé.
Donc, le choix restant est celui des armes et de la résistance. Sur ce point, le secrétaire général du Hezbollah a considéré que les mouvements de la résistance ont joué un rôle essentiel dans les changements qui ont lieu dans la région et que les changements qui s'opèrent dans le monde entier nous laissent croire que la libération d'alQods est prochaine.
Pour lui, les signes concrets qui prouvent que cette libération est imminente sont :
- La ténacité du peuple palestinien et son refus de capituler et de se soumettre aux conditions sionistes.
- L'impuissance mondiale et arabe qui laisse la cause d'alQods vivante dans les consciences, d'où la proclamation par l'imam Khomeiny du dernier vendredi du mois sacré de Ramadan « la journée mondiale d'alQods ».
- La chute du régime du Chah et l'établissement de la République islamique. Nous devons saluer les positions de la direction iranienne qui déclare haut et fort qu'Israël sera rayé de la carte.
- Les victoires et les exploits de la résistance au Liban, en Palestine et en Irak.
- Les grands changements en Egypte qui menacent l'existence d'Israël.
- Les changements en Irak qui peut jouer un rôle central dans ce conflit si les forces politiques dans ce pays s'unissent.
- La faiblesse des pays occidentaux en général.
- Les changements survenus à l'intérieur d'Israël.
- L'échec des négociations.
- Le soutien de la nation arabe du choix de la résistance et le rejet des négociations
« Ces grands changements nous laissent parler de l'imminence de la libération d'alQods, preuve à l'appui », a-t-il ajouté.
« Lorsque les fils d'Israël avaient par le passé rejeté l'appel du prophète Ibrahim de combattre avec lui pour entrer en Palestine, ils ont été condamnés à la perte et au vagabondage pendant 40 ans. De même, cette nation a été condamnée à la perte dans le désert du déchirement et de la faiblesse pendant 40 ans, puisque elle a refusé de préserver alQods. Mais les 40 ans sont écoulés, et de nouvelles générations qui croient que la voie de la résistance mène au paradis et assure la libération de la terre sont actuellement en action », a-t-il estimé.
Et d'ajouter que les signes sur la fin du vagabondage de la nation sont : « La libération du Sud Liban en 2000, la libération de Gaza et les victoires sur Israël en 2006 et 2008. Toutes ces données prouvent que l'époque des défaites est révolue et que le temps de victoire est venu ».
A la fin de son allocution, Sayed Nasrallah a parlé au nom des combattants en Palestine et dans toute la région : « Comme l'avait dit l'imam Hussein (P) à ses partisans à Kerbala, les combattants disent clairement à la nation : Ceux qui nous suivent connaitront la victoire finale et ceux qui délaisseront cette voie ne sauront que la défaite ».
Dans son allocution, Sayed Nasrallah a considéré que la ville d'alQods est une ville sainte, située aussi sur une terre sainte. « Elle est vivante dans les esprits et les consciences de tous les êtres humains croyant aux religions célestes », a-t-il dit, ajoutant qu'il n'y a pas de ville semblable à alQods sur toute la planète.
Déplorant le fait que la ville sainte est toujours soumise à l'occupation et qu'elle
a été proclamée capitale éternelle d'une entité terroriste, il a mis en garde des tentatives en cours visant à la proclamer capitale éternelle des juifs du monde.
Sayed Nasrallah a rappelé que la ville sainte était tout au long de l'histoire l'axe central des conflits dans la région, citant les accords de Saxe-Pico et les accords de partition de la Palestine visant à mettre la main sur la terre sainte. Mais il a toutefois assuré que les peuples arabo-islamiques continueront à empêcher la réalisation de tout projet de division de la terre sainte.
Partant du slogan « Dites-moi où se trouve alQods (dans le conscient collectif : ndlr), je vous dis où sera le devenir de la région », le secrétaire général du Hezbollah a mis en garde contre le projet le plus dangereux qui menace aujourd'hui alQods, à savoir : la judaïsation de la ville sainte. « Cette campagne organisée met en danger la ville sainte et la menace de destruction. Ses habitants en sont expulsés pour vider la capitale des musulmans et des chrétiens et pour détruire leurs lieux saints », s'est-il alarmé.
Tout en mettant en garde contre le vrai défi qui menace le sort de la ville sainte, Sayed Nasrallah a rappelé les responsabilités de chacun de nous. « Chaque musulman et chrétien assument une responsabilité religieuse face à la protection de cette ville historique et à son sort. Nous croyons au jour du Jugement dernier. Nous croyons au jugement des personnes et au jugement des nations. Nous serons interrogés sur ce que nous avons fait pour alQods. Toutes les générations doivent assumer donc leur responsabilité et préserver alQods. Elles seront toutes interrogées sur ce qu'elles ont fait pour alQods ».
Rappelant qu'il appartient avec ses confrères à la génération ayant succédé à celle qui fut responsable de la perte d'alQods, le numéro Un du Hezbollah a mis tout le monde devant ses responsabilités. « Nous serons interrogés le Jour du jugement des raisons pour lesquelles nous n'avons pas libéré alQods. Chacun de nous sera interrogé le jour du jugement sur ses responsabilités. Le devoir et la responsabilité imposent à la nation d'œuvrer pour sa libération », a-t-il dit.
Et Sayed d'énumérer les devoirs de la nation envers la ville sainte : défendre les lieux saints dans la ville, protéger la population palestinienne contre les expulsions sionistes, et empêcher la judaïsation d'alQods.
«Plusieurs congrès ont eu lieu à Téhéran et ailleurs, il n'y a aucun manque au niveau des programmes d'action pour la cause palestinienne. Mais notre devoir qui incombe à nous tous est d'œuvrer pour libérer la Palestine », a-t-il insisté.
Abordant les différentes options et choix politiques concernant alQods, Sayed Hassan Nasrallah a qualifié d'irréaliste le choix des négociations avec l'ennemi. « Négocier avec l'ennemi sur la restitution d'une partie de la terre de la Palestine ou sur le retour des réfugiés ne comprendra certes pas de négociations sur alQods parce que l'ennemi refuse de renoncer à cette ville et veut faire d'elle sa capitale éternelle. De plus, l'administration américaine soutient fortement l'entité sioniste dans son projet, et les pays arabes alliés de cette administration n'ont même pas réussi à arracher un mot de soutien des Américains sur cette cause », a-t-il estimé.
Donc, le choix restant est celui des armes et de la résistance. Sur ce point, le secrétaire général du Hezbollah a considéré que les mouvements de la résistance ont joué un rôle essentiel dans les changements qui ont lieu dans la région et que les changements qui s'opèrent dans le monde entier nous laissent croire que la libération d'alQods est prochaine.
Pour lui, les signes concrets qui prouvent que cette libération est imminente sont :
- La ténacité du peuple palestinien et son refus de capituler et de se soumettre aux conditions sionistes.
- L'impuissance mondiale et arabe qui laisse la cause d'alQods vivante dans les consciences, d'où la proclamation par l'imam Khomeiny du dernier vendredi du mois sacré de Ramadan « la journée mondiale d'alQods ».
- La chute du régime du Chah et l'établissement de la République islamique. Nous devons saluer les positions de la direction iranienne qui déclare haut et fort qu'Israël sera rayé de la carte.
- Les victoires et les exploits de la résistance au Liban, en Palestine et en Irak.
- Les grands changements en Egypte qui menacent l'existence d'Israël.
- Les changements en Irak qui peut jouer un rôle central dans ce conflit si les forces politiques dans ce pays s'unissent.
- La faiblesse des pays occidentaux en général.
- Les changements survenus à l'intérieur d'Israël.
- L'échec des négociations.
- Le soutien de la nation arabe du choix de la résistance et le rejet des négociations
« Ces grands changements nous laissent parler de l'imminence de la libération d'alQods, preuve à l'appui », a-t-il ajouté.
« Lorsque les fils d'Israël avaient par le passé rejeté l'appel du prophète Ibrahim de combattre avec lui pour entrer en Palestine, ils ont été condamnés à la perte et au vagabondage pendant 40 ans. De même, cette nation a été condamnée à la perte dans le désert du déchirement et de la faiblesse pendant 40 ans, puisque elle a refusé de préserver alQods. Mais les 40 ans sont écoulés, et de nouvelles générations qui croient que la voie de la résistance mène au paradis et assure la libération de la terre sont actuellement en action », a-t-il estimé.
Et d'ajouter que les signes sur la fin du vagabondage de la nation sont : « La libération du Sud Liban en 2000, la libération de Gaza et les victoires sur Israël en 2006 et 2008. Toutes ces données prouvent que l'époque des défaites est révolue et que le temps de victoire est venu ».
A la fin de son allocution, Sayed Nasrallah a parlé au nom des combattants en Palestine et dans toute la région : « Comme l'avait dit l'imam Hussein (P) à ses partisans à Kerbala, les combattants disent clairement à la nation : Ceux qui nous suivent connaitront la victoire finale et ceux qui délaisseront cette voie ne sauront que la défaite ».
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