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Sheikh kassem: l’amendement de la constitution n’est guère à l’ordre du jour

Sheikh kassem: l’amendement de la constitution n’est guère à l’ordre du jour
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Sheikh Naim Kassem secrétaire général adjoint du Hezbollah a assuré que l'amendement de la Constitution concernant la formation du gouvernement n'est guère à l'ordre du jour, soulignant “ce qu’on entend à propos des prérogatives n’est qu’une sorte de campagne médiatique”.Kassem a également affirmé, lors d’un discours lancé durant l’iftar organisé par l’unité des métiers libres au Hezbollah, que la seule question abordée aujourd’hui c’est la formation du gouvernement et chaque mot a ses conséquences qu’il soit prononcé par les responsables du premier rang ou ceux qui les suivent ou leur communauté. Il indique que certains responsables politiques ont recours aux discours provocants confessionnels, pour dévier l'attention des Libanais, affirmant pourtant que ces derniers se rendront compte bientôt de ces manœuvres.  “quand nous faisons appel au calme c’est pour pouvoir achever ce qu’il faut dans l’intérêt du liban” ajoute sheikh kassem, considérant que “le procédé vers la formation du gouvernement libanais est connu et comprend les phases suivantes: la formule à adopter, la distribution des portefeuilles, les nominations des ministres, la déclaration ministérielle, et enfin le vote de confiance.Selon Kassem L’étape la plus difficile c’est la formule, et celle-ci a été achevée et elle a eu l’accord de tous ceux qui visent l’entente dans ce pays, et dans ce sens, ce sont la deuxième et la troisième phases qui aident dans l’achèvement d’une autre partie du chemin et elles doivent se dérouler sans majeure complication.

Dans son discours, sheikh Kassem a évoqué l'histoire de la Résistance, qui est parvenue à libérer une partie du territoire libanais.

Selon lui, après la libération réalisée le 25 mai 2000 et la victoire remportée en juillet 2006, le Liban a cessé d'être faible pour devenir un pays fort, ajoutant: "Nous avons besoin d'un pays fort pour deux raisons: d'abord, continuer le processus de libération de tout le territoire libanais, sans devoir prendre l'autorisation d'autrui, et ensuite, pour faire face aux dangers israéliens qui nous menacent à chaque instant".Dans le même ordre, il souligne que la force du Liban fait la fierté de tout le peuple libanais, mais qu'elle "inquiète et afflige l'ennemi israélien". 
 

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