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Un entretien avec un journaliste US critiquant «Israël» bloqué par YouTube dans 28 pays

Un entretien avec un journaliste US critiquant «Israël» bloqué par YouTube dans 28 pays
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Un passage de l’émission d’investigation, Empire Files, animée par la journaliste américaine Abigail Suzanne «Abby» Martin et consacrée au renforcement du militarisme en «Israël», a été bloqué par YouTube dans plusieurs dizaines de pays en raison de «violation des lois nationales».

Un entretien avec un journaliste US critiquant «Israël» bloqué par YouTube dans 28 pays

YouTube a interdit l'accès à un passage de l'entretien que l'animatrice américaine Abby Martin et le journaliste Max Blumenthal ont eu dans l'émission Empire Files intitulé «Jewish-American on Israel's Fascism: "No Hope For Change From Within"» (Juif-Américain sur le fascisme israélien: aucun espoir d'un changement de l'intérieur) dans 28 pays.

«Nous venons d'être informés par YouTube que l'interview d'Abby Martin avec Max Blumenthal a été bloquée dans 28 pays (y compris en «Israël») pour "respecter les lois nationales"».

Dans ce passage, Abby Martin et Max Blumenthal parlaient des comportements de plus en plus militarisés et racistes d'«Israël» envers les Palestiniens.

«YouTube a déclaré qu'il a retiré mon entretien sur Israël et la Palestine avec Abby Martin pour se conformer aux lois de 28 pays. Pourtant, rien de ce que j'ai fait ou dit dans la discussion n'est illégal, même dans les pays qui ont les lois sur les crimes haineux les plus strictes», a indiqué M. Blumenthal à RT dans un e-mail.

Selon lui, ses commentaires étaient fondés sur sa «longue expérience professionnelle dans la région» et son «analyse était purement clinique».

«À aucun moment, je n'ai dénigré qui que ce soit en invoquant sa religion ou son appartenance ethnique», a souligné le journaliste.

Rappelons que neuf Palestiniens, dont un ado de 16 ans, ont été tués et plus de 400 blessés par des tirs de soldats de l’occupation israélienne lors d'affrontements vendredi près de la frontière entre Gaza et l’entité sioniste, une semaine après une journée particulièrement meurtrière lors de manifestations similaires.

Le 30 mars, au début d’une série de manifestations palestiniennes pour réclamer le retour des réfugiés et la fin du blocus de Gaza par «Israël», les violences ont coûté la vie à 19 Palestiniens et blessé quelque 1.400, la journée la plus sanglante depuis la guerre en 2014 entre «Israël» et le Hamas palestinien.

Source: agences et rédaction

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