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Une rencontre secrète sur la Syrie a eu lieu entre «Tel-Aviv», Washington et Moscou

Une rencontre secrète sur la Syrie a eu lieu entre «Tel-Aviv», Washington et Moscou
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Des pourparlers secrets sur les «zones de sécurité» en Syrie ont été organisés entre «Israël», les Etats-Unis et la Russie au début du mois de juillet, a révélé mercredi le quotidien israélien Haaretz. Néanmoins, l’issue des pourparlers n’a pas satisfait aux revendications de «Tel-Aviv».

Une rencontre secrète sur la Syrie a eu lieu entre «Tel-Aviv», Washington et Moscou

Au cours de ces entretiens, «Israël» aurait exprimé son objection à un accord de cessez-le-feu, qui a finalement été annoncé par Washington et Moscou.

Les responsables israéliens ont insisté pour que les grandes puissances se concentrent en priorité à éradiquer l'influence de l'Iran, allié da Damas, dans le conflit syrien, ont confié à Haaretz des sources qui ont requis l'anonymat.

Les discussions tripartites confidentielles se sont déroulées à Amman et dans une capitale européenne, dont le nom n'a pas été révélé.

Selon les fonctionnaires israéliens, les USA et la Russie considéraient la trêve et la création de zones de désescalade comme des mesures tactiques et pratiques visant à stabiliser la situation sur le terrain.

La partie israélienne demandait à Washington et Moscou d'exiger que les conseillers iraniens et la Résistance libanaise du Hezbollah quittent le territoire syrien. À défaut de quoi, «Israël» et la Jordanie pourraient être menacés. «Tel-Aviv» était mécontent de l'accord entre la Russie et les États-Unis car celui-ci ne mentionnait ni l'Iran, ni le Hezbollah, selon Haaretz.

Il est à noter que deux rencontres sur le cessez-le-feu en Syrie ont eu lieu le même jour à Amman. La première s'est déroulée entre «Israël », les États-Unis et la Russie, où «Tel-Aviv» a présenté sa position aux deux autres participants.

La deuxième réunion a eu lieu entre «Israël», les États-Unis et la Jordanie. Amman de son côté a soutenu «Tel-Aviv».

Quelques jours plus tard, les hauts représentants d'«Israël», des États-Unis et de la Russie se sont réunis dans une capitale européenne.

À l'issue de la rencontre des Présidents russe et américain, Vladimir Poutine et Donald Trump, début juillet à Hambourg, on a appris que Moscou, Washington et Amman étaient convenus de la mise en place à partir du 9 juillet d'une zone de désescalade dans le sud-est de la Syrie. La zone concernée englobe les provinces de Deraa, de Quneitra et de Soueïda.

Source: agences

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