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Manifestations pour la démission de Netanyahou sur fond de scandales de corruption

Manifestations pour la démission de Netanyahou sur fond de scandales de corruption
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Des milliers de manifestants ont défilé samedi soir dans les rues de «Tel Aviv» pour demander la démission du Premier ministre israélien.

Manifestations pour la démission de Netanyahou sur fond de scandales de corruption

La politique de Benjamin Netanyahu ne semble pas plaire à tous les «Israéliens» qui l’ont ouvertement fait savoir durant cette manifestation. Aux cris de «Netanyahou en prison !» ou «Il prend aux pauvres pour donner aux riches», ils manifestaient en réaction à l'enquête ouverte contre le Premier ministre pour plusieurs actes présumés de corruption. Ils portaient des banderoles intitulés «la corruption ne cesse pas, le gouvernement doit démissionner».

Le journal «Maariv» a rapporté que le parti gauchiste «Meretz» et le bloc d'opposition «camp sioniste» sont parmi les organisateurs de la manifestation.

Outre sa politique indigeste, des affaires de corruption dans lesquelles il est mêlé ont conduit ses opposants de gauche à s’insurger publiquement. Netanyahou aurait reçu des cadeaux d’une valeur de 100 000 dollars de la part d’hommes d’affaires, composés de cigares et d’alcool. Il a également demandé au responsable du journal israélien «Yedioth Ahronoth» de publier des articles plus positifs le concernant, en échange d’une contrepartie financière.

Netanyahou promet également à l'homme de presse de réduire la diffusion du titre concurrent, «Israel Hayom», pourtant réputé pro-Netanyahou.

Ce n’est pas la première fois que Netanyahou est lié à des affaires frauduleuses. Un rapport publié le 17 février a révélé les dépenses somptuaires de Benjamin Netanyahou, dont 68 000 dollars ont été dépensés pour l’achat de produits de beauté.

La législation israélienne prévoit que tout membre d'un gouvernement contre lequel un acte d'accusation pour corruption est présenté doit démissionner. S'il avait jusqu'ici nié en bloc les accusations portées contre lui, les imputant à des manœuvres politiques orchestrées par l'opposition, la diffusion de cet enregistrement pourrait changer la donne. A 67 ans, celui que les «Israéliens» ont surnommé «Bibi» reste pourtant très populaire en «Israël».

Source : agences et rédaction

Des milliers de manifestants ont défilé samedi soir dans les rues de «Tel Aviv» pour demander la démission du Premier ministre israélien.

La politique de Benjamin Netanyahu ne semble pas plaire à tous les «Israéliens» qui l’ont ouvertement fait savoir durant cette manifestation. Aux cris de «Netanyahou en prison !» ou «Il prend aux pauvres pour donner aux riches», ils manifestaient en réaction à l'enquête ouverte contre le Premier ministre pour plusieurs actes présumés de corruption. Ils portaient des banderoles intitulés «la corruption ne cesse pas, le gouvernement doit démissionner».
Le journal «Maariv» a rapporté que le parti gauchiste «Meretz» et le bloc d'opposition «camp sioniste» sont parmi les organisateurs de la manifestation.

Outre sa politique indigeste, des affaires de corruption dans lesquelles il est mêlé ont conduit ses opposants de gauche à s’insurger publiquement. Netanyahou aurait reçu des cadeaux d’une valeur de 100 000 dollars de la part d’hommes d’affaires, composés de cigares et d’alcool. Il a également demandé au responsable du journal israélien «Yedioth Ahronoth» de publier des articles plus positifs le concernant, en échange d’une contrepartie financière.

Netanyahou promet également à l'homme de presse de réduire la diffusion du titre concurrent, «Israel Hayom», pourtant réputé pro-Netanyahou.

Ce n’est pas la première fois que Netanyahou est lié à des affaires frauduleuses. Un rapport publié le 17 février a révélé les dépenses somptuaires de Benjamin Netanyahou, dont 68 000 dollars ont été dépensés pour l’achat de produits de beauté.

La législation israélienne prévoit que tout membre d'un gouvernement contre lequel un acte d'accusation pour corruption est présenté doit démissionner. S'il avait jusqu'ici nié en bloc les accusations portées contre lui, les imputant à des manœuvres politiques orchestrées par l'opposition, la diffusion de cet enregistrement pourrait changer la donne. A 67 ans, celui que les «Israéliens» ont surnommé «Bibi» reste pourtant très populaire en «Israël».

Source : agences et rédaction

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