Chasse à l’homme en France, organisée par un mouvement sioniste
Par Rosana El Toufaili
Le «Betar», mouvement armé de jeunesse juive radicale et sioniste, a lancé récemment sur sa page facebook, une chasse à l'homme afin de retrouver la jeune femme qui s'est moquée ouvertement et «injustement» de la mort de la petite Chaya, décédée suite à un accident qui a eu lieu à al-Qods occupée (Jérusalem).
Mercredi 22 octobre, un chauffeur a heurté volontairement 9 personnes à «Jérusalem», ce qui a
provoqué ainsi, la mort d'un nourrisson de 3 mois, Chaya et des blessures graves sur deux passants. Quelques jours après cet événement marquant, une jeune étudiante publie sur son compte twitter un tweet, qualifié d'injurieux et antisémite à l'égard de la victime, Chaya. C'est alors qu'un groupe de jeunes juifs radicaux décide de lancer une initiative, celle de retrouver la personne qui a osé écrire des propos qui dépassaient les limites selon eux. Il leur a fallu quelques temps seulement pour retrouver toutes les informations nécessaires afin d'agir. La personne concernée s'appelle Sarah Tiziana Jaffrey, fille d'un diplomate pakistanais, elle vit à Genève et poursuit ses études à l'université de Genève (Unige). Les membres de ce mouvement ont décidé de prendre les choses en main et ont donc contacté l'établissement qu'elle fréquentait, ont également appelé son lieu de travail et vont poursuivre leur objectif afin de faire payer» Sarah, pour la haine qu'elle a envers cet enfant «innocent». Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres qui a pour but de vous montrer que la France ne souhaite en aucun cas divulguer des informations qui pourraient éveiller le soupçon et la conscience des Français.
Le Betar est, certes, un mouvement qui agit sur les réseaux sociaux afin de bloquer l'accès au compte personnel de tout individu qui nuirait aux intérêts des Juifs mais également une organisation qui intervient directement sur le terrain comme la LDJ, ligue de Défense Juive. D'ailleurs tout comme cette dernière, le «Betar» a été accusé de plusieurs heurts et attaques, à l'égard de pro-palestiniens. Ces organisations illicites ont pour mission de protéger les Juifs de France contre toute violence commise par leurs agresseurs.
Cela dit, ces groupes sont en fin de compte sans existence légale. Mais l'Etat français pourrait bien les protéger étant donné que depuis bien longtemps les sionistes de France se font passer pour des victimes. Effectivement, ils se sentent persécutés, suite aux agressions et discours de haine auxquels ils sont confrontés au quotidien, et n'hésitent pas une seconde à faire appel au service de surveillance des réseaux sociaux, pour mener à bien leurs objectifs. Ils jouent également sur ce point afin de gagner la confiance de l'Europe, une Europe qui malheureusement a été manipulée.
Hélas, on insiste bien sur ce point en oubliant ce que subit chaque jour le peuple palestinien : humiliations, violences, tortures, meurtres. Sans compter que le «Betar» se sert de ces informations-là afin de publier sur son site, des photos, des propos racistes contre les Palestiniens, encore une fois de plus, pour nous prouver l'innocence des juifs extrémistes.
Par ailleurs, il faut savoir que nous sommes en pleine période de «débat» sur la reconnaissance d'un Etat palestinien par la France. Effectivement, les députés français sont amenés à voter d'ici quelques jours une résolution sur la reconnaissance de cet Etat. Avec une pression qui vient tout direct de «Tel Aviv», dimanche 23 novembre, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a mis en garde la France en affirmant que si la France venait à reconnaître l'Etat de Palestine, elle commettrait une grave erreur. Nicolas Sarkozy, ancien président de la République et futur candidat aux élections présidentielles, quant à lui, appelle l'UMP à voter contre la reconnaissance de cet État. Car pour lui, reconnaître la Palestine quelques jours après un attentat est insensé. Il finit par dévoiler l'un de ses combats : «Je n'accepterai jamais que l'on remette en cause la «sécurité d'Israël». C'est le combat de ma vie». Une fois de plus nous avons des «indices» qui nous montrent la facette cachée de nos dirigeants.
«Israël» l'enfant protégé par la France? C'est ce qu'on pourrait prétendre quand on voit que des mouvements assez violents sont encore tolérés dans l'hexagone. Un danger pour notre société et pour la génération future.
Source : French.alahednews
Le «Betar», mouvement armé de jeunesse juive radicale et sioniste, a lancé récemment sur sa page facebook, une chasse à l'homme afin de retrouver la jeune femme qui s'est moquée ouvertement et «injustement» de la mort de la petite Chaya, décédée suite à un accident qui a eu lieu à al-Qods occupée (Jérusalem).
Mercredi 22 octobre, un chauffeur a heurté volontairement 9 personnes à «Jérusalem», ce qui a
provoqué ainsi, la mort d'un nourrisson de 3 mois, Chaya et des blessures graves sur deux passants. Quelques jours après cet événement marquant, une jeune étudiante publie sur son compte twitter un tweet, qualifié d'injurieux et antisémite à l'égard de la victime, Chaya. C'est alors qu'un groupe de jeunes juifs radicaux décide de lancer une initiative, celle de retrouver la personne qui a osé écrire des propos qui dépassaient les limites selon eux. Il leur a fallu quelques temps seulement pour retrouver toutes les informations nécessaires afin d'agir. La personne concernée s'appelle Sarah Tiziana Jaffrey, fille d'un diplomate pakistanais, elle vit à Genève et poursuit ses études à l'université de Genève (Unige). Les membres de ce mouvement ont décidé de prendre les choses en main et ont donc contacté l'établissement qu'elle fréquentait, ont également appelé son lieu de travail et vont poursuivre leur objectif afin de faire payer» Sarah, pour la haine qu'elle a envers cet enfant «innocent». Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres qui a pour but de vous montrer que la France ne souhaite en aucun cas divulguer des informations qui pourraient éveiller le soupçon et la conscience des Français.Le Betar est, certes, un mouvement qui agit sur les réseaux sociaux afin de bloquer l'accès au compte personnel de tout individu qui nuirait aux intérêts des Juifs mais également une organisation qui intervient directement sur le terrain comme la LDJ, ligue de Défense Juive. D'ailleurs tout comme cette dernière, le «Betar» a été accusé de plusieurs heurts et attaques, à l'égard de pro-palestiniens. Ces organisations illicites ont pour mission de protéger les Juifs de France contre toute violence commise par leurs agresseurs.
Cela dit, ces groupes sont en fin de compte sans existence légale. Mais l'Etat français pourrait bien les protéger étant donné que depuis bien longtemps les sionistes de France se font passer pour des victimes. Effectivement, ils se sentent persécutés, suite aux agressions et discours de haine auxquels ils sont confrontés au quotidien, et n'hésitent pas une seconde à faire appel au service de surveillance des réseaux sociaux, pour mener à bien leurs objectifs. Ils jouent également sur ce point afin de gagner la confiance de l'Europe, une Europe qui malheureusement a été manipulée.
Hélas, on insiste bien sur ce point en oubliant ce que subit chaque jour le peuple palestinien : humiliations, violences, tortures, meurtres. Sans compter que le «Betar» se sert de ces informations-là afin de publier sur son site, des photos, des propos racistes contre les Palestiniens, encore une fois de plus, pour nous prouver l'innocence des juifs extrémistes.
Par ailleurs, il faut savoir que nous sommes en pleine période de «débat» sur la reconnaissance d'un Etat palestinien par la France. Effectivement, les députés français sont amenés à voter d'ici quelques jours une résolution sur la reconnaissance de cet Etat. Avec une pression qui vient tout direct de «Tel Aviv», dimanche 23 novembre, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a mis en garde la France en affirmant que si la France venait à reconnaître l'Etat de Palestine, elle commettrait une grave erreur. Nicolas Sarkozy, ancien président de la République et futur candidat aux élections présidentielles, quant à lui, appelle l'UMP à voter contre la reconnaissance de cet État. Car pour lui, reconnaître la Palestine quelques jours après un attentat est insensé. Il finit par dévoiler l'un de ses combats : «Je n'accepterai jamais que l'on remette en cause la «sécurité d'Israël». C'est le combat de ma vie». Une fois de plus nous avons des «indices» qui nous montrent la facette cachée de nos dirigeants.
«Israël» l'enfant protégé par la France? C'est ce qu'on pourrait prétendre quand on voit que des mouvements assez violents sont encore tolérés dans l'hexagone. Un danger pour notre société et pour la génération future.
Source : French.alahednews
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