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Sayed Nasrallah : Nous avons une opportunité en or de briser le plan takfiri

Sayed Nasrallah : Nous avons une opportunité en or de briser le plan takfiri
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Le secrétaire général du Hezbollah a affirmé que les terroristes du «Front al-Nosra» et du «Daech» n'ont que deux options : soit mourir de froid soit prendre la fuite en vêtements civils.

«Les extrémistes sont incapables d'envahir la Békaa parce qu'ils sont pris au piège», a affirmé sayed Hassan Nasrallah selon le quotidien libanais Al-Akhbar.

«Nous sommes très bien préparés à ce scénario», a-t-il déclaré , ajoutant que «s'il y a eu uneSayed Nasrallah : Nous avons une opportunité en or de briser le plan takfiri quelconque faille sécuritaire, cela ne veut pas dire que nous avons échoué». «Les plus grands pays du monde ne peuvent se targuer de contrôler complètement la sécurité», a ajouté sayed Nasrallah.

«Plus les jours passent, plus nous sommes conscients que notre combat en Syrie vise à protéger le Liban. Nous avons une opportunité en or de briser le plan takfiri», a-t-il indiqué, toujours selon al-Akhbar.

Le chef du Hezbollah a abordé les combats qui ont opposé le début de ce mois le Hezbollah et des extrémistes venus de Syrie à Brital, dans l'est du Liban. «Il s'agit d'une faute mineure qui a été réglée», a-t-il souligné. Au sujet de sa visite à la Békaa la semaine dernière, sayed Nasrallah a affirmé qu'il s'était rendue dans cette région pour se confirmer davantage de la situation sur le terrain. Il a indiqué à ses visiteurs avoir arpenté à pieds plusieurs kilomètres lors de sa visite aux moudjahidines à la frontière syrienne.

«Notre situation sur le terrain est très forte et nous sommes bien préparés. Nos plans sont cohérents et nous sommes prêts pour n'importe quelle étape que décideraient les terroristes», a-t-il ajouté.

Le secrétaire général du Hezbollah a affirmé que le conflit en Syrie ne vise pas à renverser le président Bachar Assad, mais à redessiner une nouvelle carte de la région. «Le maintien de Daech est dans l'intérêt des Etats-Unis et de la Turquie», a-t-il précisé.

La guerre menée par la coalition arabo-occidentale contre «Daech» vise à lui «couper les ongles» et à lui fixer des lignes rouges à ne pas franchir. Comme quoi il est interdit de s'approcher de l'Arabie, de la Jordanie et d'Erbil. 

Il a précisé que «les raids qui ont été menés par la coalition contre Daesh n'équivalent pas à un jour de raids lancés par «Israël» contre le Liban lors de la guerre de 2006». Et d'ajouter : «Les Etats-Unis utilisent Daech comme épouvantail pour faire peur et exercer du chantage sur les pays de la région et ce, pour imposer leur hégémonie notamment sur la Syrie et l'Irak».

Sayed Nasrallah a en outre considéré que «la Turquie ne s'engagera pas dans la coalition tant qu'elle n'obtient des gains réels géo-stratégiques, dont entre autres : imposer son pouvoir sur la région d'Alep. Raison pour laquelle, elle ne fournira pas d'aides aux Kurdes de Kobani, et ne prendra pas des initiatives susceptibles de menacer Daesh».

Source : sites web et rédaction

 

 

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