Militaires enlevés: Les familles passent de Dahr el-Baïdar à Riad el-Solh
Les familles des militaires kidnappés par les groupes armés terroristes ont décidé mercredi 8 octobre d'ouvrir la route de Dahr el-Baïdar et de continuer leur protestation sur la place Riad el-Solh, à Beyrouth.
Depuis plusieurs jours, les familles avaient érigé des tentes et brûlé des pneus sur cet axe vital reliant Beyrouth à l'est du Liban . Elles ont également bloqué plusieurs routes pour faire pression sur le gouvernement afin qu'il obtienne la libération de leurs fils.
Une trentaine de soldats et agents des Forces de sécurité intérieure (FSI) sont retenus en otage par les miliciens du «Front al-Nosra» et du «Daech» depuis les combats meurtriers avec la troupe en août à Ersal, dans la Békaa.
Rendant visite mercredi aux familles des militaires otages, le ministre libanais de la Santé Waël Bou Faour a assuré que «l'État libanais, via le gouvernement, est prêt à mener des négociations sérieuses» pour obtenir la libération des militaires otages. «Le médiateur est toujours impliqué», a déclaré M. Bou Faour en réponse à une question des journalistes.
Le ministre a souligné que ce qui s'est passé ce week-end dans le jurd de Brital ne sera pas le dernier incident. Ce dimanche, le «Front al-Nosra» et d'autres organisations takfiristes ont mené une attaque de large envergure dans le jurd de la localité de Brital, dans l'est du pays.
Le Hezbollah a repoussé cette offensive infligeant de lourdes pertes aux assaillants. Les combattants du parti ont déjoué leur plan qui visait à imposer une nouvelle donne géographique à la frontière libano-syrienne à l'approche de l'hiver et des chutes de neige.
Source : sites web
Depuis plusieurs jours, les familles avaient érigé des tentes et brûlé des pneus sur cet axe vital reliant Beyrouth à l'est du Liban . Elles ont également bloqué plusieurs routes pour faire pression sur le gouvernement afin qu'il obtienne la libération de leurs fils.
Une trentaine de soldats et agents des Forces de sécurité intérieure (FSI) sont retenus en otage par les miliciens du «Front al-Nosra» et du «Daech» depuis les combats meurtriers avec la troupe en août à Ersal, dans la Békaa.
Rendant visite mercredi aux familles des militaires otages, le ministre libanais de la Santé Waël Bou Faour a assuré que «l'État libanais, via le gouvernement, est prêt à mener des négociations sérieuses» pour obtenir la libération des militaires otages. «Le médiateur est toujours impliqué», a déclaré M. Bou Faour en réponse à une question des journalistes.
Le ministre a souligné que ce qui s'est passé ce week-end dans le jurd de Brital ne sera pas le dernier incident. Ce dimanche, le «Front al-Nosra» et d'autres organisations takfiristes ont mené une attaque de large envergure dans le jurd de la localité de Brital, dans l'est du pays.
Le Hezbollah a repoussé cette offensive infligeant de lourdes pertes aux assaillants. Les combattants du parti ont déjoué leur plan qui visait à imposer une nouvelle donne géographique à la frontière libano-syrienne à l'approche de l'hiver et des chutes de neige.
Source : sites web