Un soldat libanais, originaire de Ersal, libéré par les extrémistes
Un soldat libanais enlevé il y a deux semaines par des extrémistes près de la frontière syrienne a été libéré mardi soir, a indiqué un porte-parole de l'armée.
Le porte-parole, qui s'exprimait sous couvert de l'anonymat, a indiqué que Kamal al-Houjeiri, originaire de Ersal, rendait visite à sa famille quand il a été enlevé à la mi-septembre.
Une source de sécurité avait alors indiqué que le soldat se trouvait en permission chez lui
dans le secteur de Wadi Hmeid, dans les environs de Ersal, une ville de l'est du pays, proche de la frontière syrienne.
Il n'était pas clair dans l'immédiat quel groupe le détenait ni la raison de sa libération.
Des combats inédits ont eu lieu en août à Ersal entre l'armée libanaise et des extrémistes de «Daech» et du Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda.
Les extrémistes ont fini par se retirer dans des montagnes proches après une trêve mais ont enlevé des dizaines de soldats et policiers.
Le sous-officier des SR de l'armée, Kamal Hojeiri, ne faisait pas partie de ce groupe, dans lequel trois soldats ont été exécuté par leurs ravisseurs.
Les familles des soldats et policiers enlevés manifestent quotidiennement dans le pays, bloquant notamment des routes dans l'espoir d'attirer l'attention sur le sort de leur proches.
Des négociations sont en cours pour leur libération, des médias locaux faisant état d'une médiation du Qatar, un pays qui a été accusé de soutenir les groupes extrémistes.
Source: agences et rédaction
Le porte-parole, qui s'exprimait sous couvert de l'anonymat, a indiqué que Kamal al-Houjeiri, originaire de Ersal, rendait visite à sa famille quand il a été enlevé à la mi-septembre.
Une source de sécurité avait alors indiqué que le soldat se trouvait en permission chez lui
dans le secteur de Wadi Hmeid, dans les environs de Ersal, une ville de l'est du pays, proche de la frontière syrienne.Il n'était pas clair dans l'immédiat quel groupe le détenait ni la raison de sa libération.
Des combats inédits ont eu lieu en août à Ersal entre l'armée libanaise et des extrémistes de «Daech» et du Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda.
Les extrémistes ont fini par se retirer dans des montagnes proches après une trêve mais ont enlevé des dizaines de soldats et policiers.
Le sous-officier des SR de l'armée, Kamal Hojeiri, ne faisait pas partie de ce groupe, dans lequel trois soldats ont été exécuté par leurs ravisseurs.
Les familles des soldats et policiers enlevés manifestent quotidiennement dans le pays, bloquant notamment des routes dans l'espoir d'attirer l'attention sur le sort de leur proches.
Des négociations sont en cours pour leur libération, des médias locaux faisant état d'une médiation du Qatar, un pays qui a été accusé de soutenir les groupes extrémistes.
Source: agences et rédaction
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