Nucléaire: Les différences se réduisent entre l’Iran et le 5+1, selon Téhéran
Les différences se réduisent entre l'Iran et les grandes puissances dans leurs discussions sur un accord global concernant le programme nucléaire de Téhéran, a affirmé mardi à Vienne un responsable de la délégation iranienne.
«Sur certaines questions, nous avons réduit les différences», a déclaré Abbas Araghchi, ministre adjoint des Affaires étrangères et responsable des questions techniques au sein de l'équipe iranienne, à l'issue d'une journée de négociations avec le groupe des pays du 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne).
C'est la troisième session de négociations depuis que Téhéran a accepté en novembre dernier de geler une partie de ses activités nucléaires en échange d'une levée partielle
des sanctions occidentales.
Le «5+1» et la République islamique espèrent progresser suffisamment pour commencer en mai la rédaction d'un document final.
Les négociations, qui se poursuivent mercredi, sont «difficiles et compliquées» mais se déroulent dans «une bonne atmosphère», a ajouté M. Araghchi, cité par l'agence Mehr, précisant qu'une nouvelle série de discussions aurait lieu à Vienne à la mi-mai.
«Les deux parties ont tenté de régler les questions (en suspens) et de rapprocher leurs vues pour combler les fossés, afin de pouvoir entrer dans les détails (d'un accord global) lors de la prochaine session», a-t-il expliqué à la presse iranienne.
Les deux parties doivent se retrouver «à Vienne à la fin du mois d'Ordibehesht», qui se termine le 20 mai, a précisé le diplomate iranien.
Le programme d'enrichissement d'uranium continuera, a affirmé M. Araghchi, alors que l'un des points les plus délicats est l'étendue de ce programme, notamment le nombre et le type de centrifugeuses (les appareils réalisant l'enrichissement) utilisables par l'Iran.
Les travaux «se poursuivront» sur le réacteur à eau lourde d'Arak, un installation en cours de construction qui inquiète les Occidentaux, mais l'Iran est prêt à utiliser «de nouvelles technologies» pour lever les inquiétudes, a-t-il dit.
Source: agences et rédaction
«Sur certaines questions, nous avons réduit les différences», a déclaré Abbas Araghchi, ministre adjoint des Affaires étrangères et responsable des questions techniques au sein de l'équipe iranienne, à l'issue d'une journée de négociations avec le groupe des pays du 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne).
C'est la troisième session de négociations depuis que Téhéran a accepté en novembre dernier de geler une partie de ses activités nucléaires en échange d'une levée partielle
des sanctions occidentales.Le «5+1» et la République islamique espèrent progresser suffisamment pour commencer en mai la rédaction d'un document final.
Les négociations, qui se poursuivent mercredi, sont «difficiles et compliquées» mais se déroulent dans «une bonne atmosphère», a ajouté M. Araghchi, cité par l'agence Mehr, précisant qu'une nouvelle série de discussions aurait lieu à Vienne à la mi-mai.
«Les deux parties ont tenté de régler les questions (en suspens) et de rapprocher leurs vues pour combler les fossés, afin de pouvoir entrer dans les détails (d'un accord global) lors de la prochaine session», a-t-il expliqué à la presse iranienne.
Les deux parties doivent se retrouver «à Vienne à la fin du mois d'Ordibehesht», qui se termine le 20 mai, a précisé le diplomate iranien.
Le programme d'enrichissement d'uranium continuera, a affirmé M. Araghchi, alors que l'un des points les plus délicats est l'étendue de ce programme, notamment le nombre et le type de centrifugeuses (les appareils réalisant l'enrichissement) utilisables par l'Iran.
Les travaux «se poursuivront» sur le réacteur à eau lourde d'Arak, un installation en cours de construction qui inquiète les Occidentaux, mais l'Iran est prêt à utiliser «de nouvelles technologies» pour lever les inquiétudes, a-t-il dit.
Source: agences et rédaction
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