Le Hezbollah condamne les attaques contre des citoyens à Tripoli
Le Hezbollah a dénoncé les attaques répétitives à caractère sectaire contre des civils, des attaques attribuées à des bandes criminelles à Tripoli, couvertes politiquement par le groupe du 14 Mars.
La dernière agression en date remonte au jeudi 28 novembre. Des inconnus ont tiré sur quatre employés innocents de la municipalité de Tripoli, les blessant grièvement à la jambe. La seule faute de ses victimes est leur appartenance à une certaine confession, désavouée par le 14 Mars et ses maîtres étrangers, a souligné le Hezbollah dans un communiqué.
Tripoli et ses habitants, connus par leur patriotisme et leurs positions rationnelles, rejettent ces exactions qui reflètent le désespoir politique de ce groupe dû à l'échec de son pari sur des changements sur le terrain. A travers ces pratiques vindicatives et barbares, ce groupe décharge sa rancune, précise le texte.
Le Hezbollah regrette ces actes et se dit solidaire des blessés et de leurs familles, soulignant que le chef-lieu du Liban-Nord est également victime de ces crimes. De même, il condamne les provocations politiques extrémistes qui s'en prennent aux institutions de l'Etat, aux libertés et aux droits des citoyens, tentant d'avorter tous les plans de sécurité mis en place afin d'ébranler le prestige de l'Etat et de déstabiliser le pays.
Le parti dénonce également le silence de certaines parties face à ces crimes et les tentatives des autres qui cherchent à les justifier et les couvrir. Enfin, il appelle les autorités et les services de l'Etat à assumer leurs responsabilités face à ces harcèlements qui menacent la paix civile et la sécurité nationale.
La dernière agression en date remonte au jeudi 28 novembre. Des inconnus ont tiré sur quatre employés innocents de la municipalité de Tripoli, les blessant grièvement à la jambe. La seule faute de ses victimes est leur appartenance à une certaine confession, désavouée par le 14 Mars et ses maîtres étrangers, a souligné le Hezbollah dans un communiqué.
Tripoli et ses habitants, connus par leur patriotisme et leurs positions rationnelles, rejettent ces exactions qui reflètent le désespoir politique de ce groupe dû à l'échec de son pari sur des changements sur le terrain. A travers ces pratiques vindicatives et barbares, ce groupe décharge sa rancune, précise le texte.
Le Hezbollah regrette ces actes et se dit solidaire des blessés et de leurs familles, soulignant que le chef-lieu du Liban-Nord est également victime de ces crimes. De même, il condamne les provocations politiques extrémistes qui s'en prennent aux institutions de l'Etat, aux libertés et aux droits des citoyens, tentant d'avorter tous les plans de sécurité mis en place afin d'ébranler le prestige de l'Etat et de déstabiliser le pays.
Le parti dénonce également le silence de certaines parties face à ces crimes et les tentatives des autres qui cherchent à les justifier et les couvrir. Enfin, il appelle les autorités et les services de l'Etat à assumer leurs responsabilités face à ces harcèlements qui menacent la paix civile et la sécurité nationale.
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