Les Français moins motivés au travail
Les Français traîneraient-ils la patte au travail? A en croire un sondage Viavoice rendu public mercredi, ils seraient en tout cas nettement moins motivés que leurs voisins allemands et britanniques.
Selon cette enquête, 56% des actifs de l'Hexagone se disent en effet motivés au travail, contre 78% des Britanniques et 80% des Allemands.
La proportion de personnes très motivées est là encore de 12% en France, contre 24% au
Royaume-Uni et 28% en Allemagne.
La première source de motivation citée dans ces trois pays est l'intérêt du travail, mais les Allemands en font un enjeu plus grand que dans les deux autres pays, avec 60% des personnes motivées disant aimer leur activité, contre 44% en France et 39% au Royaume-Uni.
A l'inverse, les causes de démotivation s'expliquent principalement par un manque de reconnaissance (financière ou matérielle), la pression managériale ou de mauvaises conditions de travail.
Mais en France, le sentiment de précarité est aussi un facteur fort de démobilisation. Les actifs de l'Hexagone sont ainsi 23% à mettre en avant le fait d'avoir «une situation précaire, un avenir incertain» pour expliquer leur démotivation, là où ils ne sont que 8% au Royaume-Uni et 9% en Allemagne.
Le sondage réalisé pour W&Cie et diffusé par Radio classique a été mené en ligne du 22 au 25 octobre auprès de 1.598 actifs européens, divisés en trois échantillons représentatifs nationaux: 579 Français, 511 Britanniques et 508 Allemands.
Source: agences et rédaction
Selon cette enquête, 56% des actifs de l'Hexagone se disent en effet motivés au travail, contre 78% des Britanniques et 80% des Allemands.
La proportion de personnes très motivées est là encore de 12% en France, contre 24% au
Royaume-Uni et 28% en Allemagne.La première source de motivation citée dans ces trois pays est l'intérêt du travail, mais les Allemands en font un enjeu plus grand que dans les deux autres pays, avec 60% des personnes motivées disant aimer leur activité, contre 44% en France et 39% au Royaume-Uni.
A l'inverse, les causes de démotivation s'expliquent principalement par un manque de reconnaissance (financière ou matérielle), la pression managériale ou de mauvaises conditions de travail.
Mais en France, le sentiment de précarité est aussi un facteur fort de démobilisation. Les actifs de l'Hexagone sont ainsi 23% à mettre en avant le fait d'avoir «une situation précaire, un avenir incertain» pour expliquer leur démotivation, là où ils ne sont que 8% au Royaume-Uni et 9% en Allemagne.
Le sondage réalisé pour W&Cie et diffusé par Radio classique a été mené en ligne du 22 au 25 octobre auprès de 1.598 actifs européens, divisés en trois échantillons représentatifs nationaux: 579 Français, 511 Britanniques et 508 Allemands.
Source: agences et rédaction
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