Syrie: Un extrémiste français mort dans une attaque suicide contre l’armée
Un Français qui combattait en Syrie aux côtés des groupes extrémistes s'est fait exploser devant une position de l'armée cette semaine dans la province d'Alep (nord).
Le Français, surnommé «Abou al-Qaaqaa» (du nom d'un combattant au temps du prophète Mahomet), a mené mercredi 9 septembre une opération suicide à Al-Hamam, un village au sud-est de la ville d'Alep, selon le soi-disant «Observatoire syrien des droits de l'Homme» (OSDH).
Un membre d'Al-Nosra
Âgé d'une vingtaine d'années, «il était parmi les premiers assaillants du village», attaqué
ensuite conjointement par les groupes extrémistes de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), composé en majorité d'étrangers, et le Front Al-Nosra, deux factions affiliées à Al-Qaïda, a précisé le directeur de l'OSDH.
Selon lui, il est difficile de savoir si «Abou al-Qaaqaa» est un Français converti à l'islam ou un Français originaire d'un pays musulman. Une photo présumée d'extrémiste relayée sur les réseaux sociaux et le présentant comme membre d'Al-Nosra montre un jeune homme portant une barbe épaisse, une arme automatique et un béret sur lequel est écrit «ll n'y a Dieu que Dieu».
130 Français combattraient en Syrie
Le 24 septembre, un Français, Abou Mohammad al-Fransi, a été tué dans des combats contre l'armée dans cette région, avait rapporté l'OSDH.
Le ministre français de l'Intérieur Manuel Valls avait estimé que «plus de 130 Français ou résidents en France» souvent radicalisés, combattaient actuellement en Syrie. Selon lui, il s'agit «d'individus jeunes, ayant connu souvent déjà un parcours délinquant, radicalisés le plus souvent».
Source : agences et rédaction
Le Français, surnommé «Abou al-Qaaqaa» (du nom d'un combattant au temps du prophète Mahomet), a mené mercredi 9 septembre une opération suicide à Al-Hamam, un village au sud-est de la ville d'Alep, selon le soi-disant «Observatoire syrien des droits de l'Homme» (OSDH).
Un membre d'Al-Nosra
Âgé d'une vingtaine d'années, «il était parmi les premiers assaillants du village», attaqué
ensuite conjointement par les groupes extrémistes de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), composé en majorité d'étrangers, et le Front Al-Nosra, deux factions affiliées à Al-Qaïda, a précisé le directeur de l'OSDH.Selon lui, il est difficile de savoir si «Abou al-Qaaqaa» est un Français converti à l'islam ou un Français originaire d'un pays musulman. Une photo présumée d'extrémiste relayée sur les réseaux sociaux et le présentant comme membre d'Al-Nosra montre un jeune homme portant une barbe épaisse, une arme automatique et un béret sur lequel est écrit «ll n'y a Dieu que Dieu».
130 Français combattraient en Syrie
Le 24 septembre, un Français, Abou Mohammad al-Fransi, a été tué dans des combats contre l'armée dans cette région, avait rapporté l'OSDH.
Le ministre français de l'Intérieur Manuel Valls avait estimé que «plus de 130 Français ou résidents en France» souvent radicalisés, combattaient actuellement en Syrie. Selon lui, il s'agit «d'individus jeunes, ayant connu souvent déjà un parcours délinquant, radicalisés le plus souvent».
Source : agences et rédaction
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