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Obama à Stockholm en quête de partenaires étrangers à sa politique syrienne

Obama à Stockholm en quête de partenaires étrangers à sa politique syrienne
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Le président américain Barack Obama est arrivé mercredi à Stockholm, première étape d'un voyage de trois jours en Europe où il tentera de rallier davantage de partenaires étrangers à sa politique syrienne.

Peu avant son arrivée à Stockholm, M. Obama s'est dit confiant que les parlementaires américains voteraient, peut-être dès la semaine prochaine, une résolution l'autorisant à frapper la Syrie.
 
Mardi, le gouvernement américain a marqué des points dans sa campagne visant à convaincre leObama à Stockholm en quête de partenaires étrangers à sa politique syrienne Congrès du bienfondé d'une intervention militaire en Syrie.

Pour satisfaire les plus réticents d'entre eux, une nouvelle résolution a été élaborée au Sénat américain limitant toute intervention en Syrie à 60 jours, avec la possibilité d'une extension à 90 jours, et interdisant au président de déployer des soldats américains dans le «but d'opérations de combat» en Syrie. Un vocabulaire qui laisse la possibilité d'opérations pour secourir des pilotes américains, par exemple.

M. Obama a en outre une nouvelle fois mis l'accent sur le fait que toute intervention en Syrie serait «limitée» et «proportionnelle». «Cela n'implique pas de troupes au sol, ce n'est pas l'Irak, ce n'est pas l'Afghanistan», a-t-il souligné.

L'issue des votes la semaine prochaine dans les deux chambres du Congrès restait pourtant incertaine, même si Barack Obama a engrangé mardi le soutien clé de son principal adversaire politique, le président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner.

L'opinion américaine, tout comme les élus, restait encore à convaincre. Selon un sondage ABC News/Washington Post publié mardi, 59% des Américains s'opposent à des frappes par missiles de croisière en Syrie, tandis que 48% se disaient opposés (29% favorables) dans une autre enquête, de l'institut Pew.

Source : agences

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