Sayeda Zeinab et son mausolée à Damas: toujours présents dans la mémoire collective des musulmans
Bien que Sayeda Zeinab, petite-fille du prophète et soeur de l'imam Hussein, soit étrangère à la guerre en cours en Syrie, les rebelles armés ont décidé de la viser! Ils l'ont considérée comme une alliée au régime et ont menacé de détruire son mausolée avec le départ du régime de Bachar Assad, en dépit de sa présence à Damas, des centaines d'années avant ce régime! Ils ont menacé et affiché leur détermination à éliminer le mausolée de sayeda Zeinab! Ils ont consciemment oublié que sayeda Zeinab est la petite fille du prophète Mohammad (psl), fille de Fatima Zahra'a, et de Ali Ben Abi Taleb, premier croyant en l'Islam (psl).
Sayeda Zeinab fut enterrée dans la Ghouta de Damas. Son saint mausolée était tout au long de l'histoire un lieu de paix et de tranquillité, jusqu'à l'arrivée des corbeaux du mal, qui prêchent pour l'intolérance, le sabotage, la destruction, l'injustice et la grande discorde.
Depuis deux ans, les appels à la destruction de ce mausolée se sont succédé par des déclarations et via les chaines télévisée :
Le 22 juillet 2012, la chaine «Safa», financée par les services de renseignements saoudiens et installée au Koweït, au Caire et à Riyad, a exhorté les soi-disant membres de l'Armée Syrienne Libre, désignés de «fils des Omeyyades à Sham», à démolir le mausolée de sayeda Zeinab. Le takifiri, Adel Rahman Dimachkieh, a réitéré l'appel.
Ces appels ont été traduits sur le terrain. En effet, la région de Ghouta où est situé le mausolée saint, a connu de dizaines d'attaques, sous le prétexte de combattre les «chabbihas» du régime. Mais en réalité, ces agressions ont visé les habitants de la région sur fond confessionnel. Des milliers de victimes et de blessés, ainsi qu'une destruction et exode massifs en furent le résultat.
Le mausolée en soi est devenu une cible pour les rebelles :
Voici «la brigade des vertueux fakihs» qui annonce les étapes de la bataille «de la libération des quartiers de sayeda Zeinab», arrivant en fin de compte à la prise d'assaut du quartier par les «moudjahidines» «pour y poursuivre les athées» !
Voici la «brigade des martyrs du Golan», qui a évoqué la libération du quartier de sayeda Zeinab, tout comme d'autres formations de rebelles, hostiles aux habitants pacifiques de cette région.
La hardiesse a été poussée à un tel degré, que des opérations suicides ont été perpétrées contre le mausolée. C'est ce qui a eu lieu le 14-6-2012, lorsqu'un attentat-suicide à la voiture piégée a visé la localité. Une délégation des observateurs internationaux en Syrie ont visité le lieu pour recueillir les témoignages des habitants.
Le 31 octobre 2012, l'explosion d'une charge explosive près du mausolée a fait huit martyrs et des dizaines de blessés, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
&&vid&&
Le 13 février 2012, des rebelles ont pilonné la voute du mausolée de sayeda Sukeina. Ils ont ensuite tenté de s'infiltrer vers celui de sayeda Zeinab, dans le but de le faire sauter. Les gardes du site religieux y étaient à l'affût et ont contraint les agresseurs à fuir.
Les chefs des rebelles justifient leur insurrection contre le régime, comme étant une lutte contre l'injustice et la violation des droits et des lieux saints, au moment où eux-mêmes, s'emploient à torpiller la coexistence dans leur pays, au dépend de toutes les valeurs nationales, humaines et islamiques.
Les groupes terroristes ont dans le même contexte revendiqué à plusieurs reprises le bombardement des quartiers résidentiels de l'entourage du mausolée, prétendant viser les postes des «chabbihas» !
Les données précitées constituent le sommet de l'iceberg. Al-Ahednews s'abstient de publier d'autres par souci pour la dignité des musulmans et de leurs symboles religieux. Des données qui révèlent la bassesse et l'infamie de ceux qui se couvrent par l'Islam, au moment où leur principal souci est de défigurer l'image pure de cette religion.
Source : Alahednews, traduit par : moqawama.org
Sayeda Zeinab fut enterrée dans la Ghouta de Damas. Son saint mausolée était tout au long de l'histoire un lieu de paix et de tranquillité, jusqu'à l'arrivée des corbeaux du mal, qui prêchent pour l'intolérance, le sabotage, la destruction, l'injustice et la grande discorde.
Depuis deux ans, les appels à la destruction de ce mausolée se sont succédé par des déclarations et via les chaines télévisée :
Le 22 juillet 2012, la chaine «Safa», financée par les services de renseignements saoudiens et installée au Koweït, au Caire et à Riyad, a exhorté les soi-disant membres de l'Armée Syrienne Libre, désignés de «fils des Omeyyades à Sham», à démolir le mausolée de sayeda Zeinab. Le takifiri, Adel Rahman Dimachkieh, a réitéré l'appel.
Ces appels ont été traduits sur le terrain. En effet, la région de Ghouta où est situé le mausolée saint, a connu de dizaines d'attaques, sous le prétexte de combattre les «chabbihas» du régime. Mais en réalité, ces agressions ont visé les habitants de la région sur fond confessionnel. Des milliers de victimes et de blessés, ainsi qu'une destruction et exode massifs en furent le résultat.
Le mausolée en soi est devenu une cible pour les rebelles :
Voici «la brigade des vertueux fakihs» qui annonce les étapes de la bataille «de la libération des quartiers de sayeda Zeinab», arrivant en fin de compte à la prise d'assaut du quartier par les «moudjahidines» «pour y poursuivre les athées» !
Voici la «brigade des martyrs du Golan», qui a évoqué la libération du quartier de sayeda Zeinab, tout comme d'autres formations de rebelles, hostiles aux habitants pacifiques de cette région.
La hardiesse a été poussée à un tel degré, que des opérations suicides ont été perpétrées contre le mausolée. C'est ce qui a eu lieu le 14-6-2012, lorsqu'un attentat-suicide à la voiture piégée a visé la localité. Une délégation des observateurs internationaux en Syrie ont visité le lieu pour recueillir les témoignages des habitants.
Le 31 octobre 2012, l'explosion d'une charge explosive près du mausolée a fait huit martyrs et des dizaines de blessés, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
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Le 13 février 2012, des rebelles ont pilonné la voute du mausolée de sayeda Sukeina. Ils ont ensuite tenté de s'infiltrer vers celui de sayeda Zeinab, dans le but de le faire sauter. Les gardes du site religieux y étaient à l'affût et ont contraint les agresseurs à fuir.
Les chefs des rebelles justifient leur insurrection contre le régime, comme étant une lutte contre l'injustice et la violation des droits et des lieux saints, au moment où eux-mêmes, s'emploient à torpiller la coexistence dans leur pays, au dépend de toutes les valeurs nationales, humaines et islamiques.
Les groupes terroristes ont dans le même contexte revendiqué à plusieurs reprises le bombardement des quartiers résidentiels de l'entourage du mausolée, prétendant viser les postes des «chabbihas» !
Les données précitées constituent le sommet de l'iceberg. Al-Ahednews s'abstient de publier d'autres par souci pour la dignité des musulmans et de leurs symboles religieux. Des données qui révèlent la bassesse et l'infamie de ceux qui se couvrent par l'Islam, au moment où leur principal souci est de défigurer l'image pure de cette religion.
Source : Alahednews, traduit par : moqawama.org