Les combattants belges en Syrie : pas vraiment utiles
Les jeunes Belges qui partent se battre en Syrie seraient plus un embarras qu'une aide pour la rébellion: c'est le constat posé par un chef d'un groupe armé d'origine belge: Abdelrahman Ayachi, le fils d'un imam franco-syrien, bien connu des services de sécurité belges pour son radicalisme.
Le journaliste de la VRT, Rudi Vranckx, l'a rencontré il y a peu en Syrie: «Abdelrahman est à la tête d’un groupe de plusieurs centaines de combattants. Les syriens disent qu’ils ne savent rien faire avec ces belges. Qu’ils ne savent pas se battre, ne connaissent pas les coutumes ni la géographie des lieux. Même pas la langue souvent. C’est plutôt un inconvénient qu’un appui».
Selon le journaliste de la VRT, Abdel Rahman dit avoir besoin d’armes, d’aides financières, voire de nourriture, mais pas de combattants. Abdel Rahman est, lui sur place parce qu’il est à moitié Syrien. Il dit qu'il combat sur le territoire de son Père et même plus précisément dans le village de son Père. « Pour lui, c’est un djihad local. »
Source : www.rtbf.be
Selon le journaliste de la VRT, Abdel Rahman dit avoir besoin d’armes, d’aides financières, voire de nourriture, mais pas de combattants. Abdel Rahman est, lui sur place parce qu’il est à moitié Syrien. Il dit qu'il combat sur le territoire de son Père et même plus précisément dans le village de son Père. « Pour lui, c’est un djihad local. »
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