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Manœuvres dans le Golfe: l’Iran met en garde contre "les actes provocateurs"

Manœuvres dans le Golfe: l’Iran met en garde contre
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L'Iran a mis en garde mardi contre «les actes provocateurs» dans le Golfe, où des manœuvres navales ont débuté cette semaine avec la participation de 41 pays sous l'égide de la Ve flotte américaine, basée à Bahreïn.Manœuvres dans le Golfe: l’Iran met en garde contre

«La stabilité et la sécurité du Golfe persique sont très importantes pour nous (...) Nous surveillons tous les mouvements et nous demandons à tous les pays présents dans la région d'éviter les actes provocateurs», a déclaré Ramin Mehmanparast, porte-parole du ministère des Affaires étrangères lors de son point de presse hebdomadaire.

"Israël" aux manœuvres

En plus de l'entité sioniste, quarante pays participent à ces exercices, qui doivent se poursuivre jusqu'au 30 mai.
Ces exercices «sont les plus larges manœuvres du genre dans la région», a souligné la Vème flotte dans un communiqué lundi.

Les manœuvres (IMCMEX) englobent «des opérations défensives visant à protéger le commerce international, des exercices anti-mines et des opérations de sécurité maritime», selon le communiqué. Manœuvres dans le Golfe: l’Iran met en garde contre

Des manœuvres avaient également été menées l'an dernier sous l'égide de la Ve flotte.

«Nous sommes heureux de voir que plus de 40 pays nous ont rejoints pour des exercices visant à améliorer les capacités internationales de préserver la liberté des voies de navigation mondiales», a déclaré le vice-amiral John W. Miller, commandant de la Ve flotte.

Les pays participants ont commencé lundi des exercices et les manœuvres navales doivent débuter la semaine prochaine, avec la participation de 35 navires, dont l'USS Ponce, et 18 sous-marins sans équipage.

Exercices de déminage iraniens

Téhéran a commencé de son côté mardi des «exercices de déminage à l'est du détroit d'Ormuz, en mer d'Oman», utilisant notamment un nouveau système de déminage, a rapporté l'agence iranienne Fars.

L'Iran a menacé à plusieurs reprises dans le passé de bloquer le détroit d'Ormuz par lequel transite le tiers du trafic maritime pétrolier mondial s'il était attaqué ou si ses intérêts vitaux étaient en jeu.

Source: Agences, édité par: moqawama.org

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