Syrie: Paris accorde 1,2 millions d’euros à l’opposition
1,2 million d'euros. C'est la somme à nouveau allouée à l'opposition syrienne par la France, a annoncé le ministre des Affaires étrangères français ce lundi 26 novembre. "Nous avions déjà apporté depuis le début de cette année, une aide financière directe de 1,2 million d’euros aux Conseils révolutionnaires civils pour des actions humanitaires", affirme Laurent Fabius dans un communiqué. Et "alors que la Coalition nationale syrienne organise une réunion (…) sur l’aide à la population syrienne, la France décide de lui allouer [à nouveau: ndlr] une aide d’urgence humanitaire de 1,2 million d’euros", a-t-il poursuivi.
La France prétend qu'elle ne fournit aucun type d'armement aux opposants syriens, et que son aide est purement financière et humanitaire. Paris a mis en place un programme d'aide aux zones "libérées du régime de Bachar al-Assad" et à quelques autres places en Syrie.
Moscou proteste
Dans une interview à l'AFP et au "Figaro", le premier ministre russe Dmitri Medvedev qualifiait de "tout à fait inacceptable au regard du droit international" le soutien de la France. La décision de Paris de reconnaître l'opposition comme "seul représentant du peuple syrien" et de demander la levée de l'embargo sur les livraisons d'armes aux opposants du régime Assad est "très discutable", a estimé Dmitri Medvedev qui entame lundi soir une visite de travail à Paris.
Source: agences
La France prétend qu'elle ne fournit aucun type d'armement aux opposants syriens, et que son aide est purement financière et humanitaire. Paris a mis en place un programme d'aide aux zones "libérées du régime de Bachar al-Assad" et à quelques autres places en Syrie.
Moscou proteste
Dans une interview à l'AFP et au "Figaro", le premier ministre russe Dmitri Medvedev qualifiait de "tout à fait inacceptable au regard du droit international" le soutien de la France. La décision de Paris de reconnaître l'opposition comme "seul représentant du peuple syrien" et de demander la levée de l'embargo sur les livraisons d'armes aux opposants du régime Assad est "très discutable", a estimé Dmitri Medvedev qui entame lundi soir une visite de travail à Paris.
Source: agences