Syrie: il faut poursuivre les négociations malgré l’échec de la trêve, affirme Brahimi
"Il faut poursuivre les négociations en Syrie malgré l'échec de la trêve annoncée pour la fête musulmane d'al-Adha", a déclaré lundi à Moscou l'envoyé spécial des Nations unies et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, à l'issue d'entretiens avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
"Je regrette beaucoup que l'appel à la trêve n'ait pas été entendu. Mais cela ne nous fera pas renoncer (aux négociations), parce que nous tenons à la Syrie, et le peuple syrien mérite notre soutien. Nous poursuivrons nos efforts et coopérerons avec tous les acteurs extérieurs et intérieurs en vue de réduire le niveau de violence et d'y mettre fin", a indiqué M.Brahimi.
"Nous avons déjà exprimé notre déception car ceux qui entravent le processus de paix ont pratiquement torpillé le travail des observateurs militaires en Syrie. A présent, cette mission est mise en veilleuse, et seul un petit groupe reste à Damas pour suivre l'évolution de la situation", a pour sa part déclaré M.Lavrov à l'issue des négociations avec l'émissaire spécial Lakhdar Brahimi, en visite à Moscou.
"Nous appuierons les efforts de M.Brahimi et les efforts de l'Organisation des nations unies visant à calmer la situation et à lancer un dialogue en Syrie selon les principes approuvés par le Groupe d'action sur la Syrie à Genève" fin juin dernier, a pour sa part noté M.Lavrov.
Le document adopté à Genève n'a toujours pas été approuvé par le Conseil de sécurité de l'ONU. "Nous avons examiné ce lundi les moyens de réaliser le potentiel de ce document", a ajouté le ministre russe.
Réuni le 30 juin à Genève, le Groupe d'action sur la Syrie, comprenant les ministres des Affaires étrangères des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, de la Turquie et de pays de la Ligue arabe, a formulé les principes de règlement de la crise syrienne. Ces principes prévoient la création d'un gouvernement de transition réunissant toutes les parties en conflit, une révision de la Constitution syrienne et la tenue d'élections multipartites.
Sources: agences
"Je regrette beaucoup que l'appel à la trêve n'ait pas été entendu. Mais cela ne nous fera pas renoncer (aux négociations), parce que nous tenons à la Syrie, et le peuple syrien mérite notre soutien. Nous poursuivrons nos efforts et coopérerons avec tous les acteurs extérieurs et intérieurs en vue de réduire le niveau de violence et d'y mettre fin", a indiqué M.Brahimi.
"Nous avons déjà exprimé notre déception car ceux qui entravent le processus de paix ont pratiquement torpillé le travail des observateurs militaires en Syrie. A présent, cette mission est mise en veilleuse, et seul un petit groupe reste à Damas pour suivre l'évolution de la situation", a pour sa part déclaré M.Lavrov à l'issue des négociations avec l'émissaire spécial Lakhdar Brahimi, en visite à Moscou.
"Nous appuierons les efforts de M.Brahimi et les efforts de l'Organisation des nations unies visant à calmer la situation et à lancer un dialogue en Syrie selon les principes approuvés par le Groupe d'action sur la Syrie à Genève" fin juin dernier, a pour sa part noté M.Lavrov.
Le document adopté à Genève n'a toujours pas été approuvé par le Conseil de sécurité de l'ONU. "Nous avons examiné ce lundi les moyens de réaliser le potentiel de ce document", a ajouté le ministre russe.
Réuni le 30 juin à Genève, le Groupe d'action sur la Syrie, comprenant les ministres des Affaires étrangères des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, de la Turquie et de pays de la Ligue arabe, a formulé les principes de règlement de la crise syrienne. Ces principes prévoient la création d'un gouvernement de transition réunissant toutes les parties en conflit, une révision de la Constitution syrienne et la tenue d'élections multipartites.
Sources: agences