Iran: "Ceux qui imposent des sanctions doivent en payer le prix"
L’Iran a fermement condamné les sanctions économiques contre son programme nucléaire, affirmant qu’elles se retourneraient contre les puissances occidentales.
« Les sanctions imposées à l'Iran, n'affectent pas que l'économie iranienne, elles touchent aussi d'autres pays ainsi que des compagnies étrangères », a déclaré vendredi à Tokyo le ministre
iranien des finances Shamseddine Hosseini.
« Par exemple, la Turquie est devenue l'un de nos partenaires commerciaux les plus importants à la place de l'Allemagne, tandis que la Chine pourrait prendre la part de marché qui est celle du Japon », a-t-il détaillé lors d'une conférence de presse en marge du sommet annuel du FMI et de la Banque mondiale dans la capitale japonaise.
Tout en considérant ces sanctions « comme une colonisation froide ou une guerre économique », M. Hosseini a réaffirmé que « l’Iran a ses propres ressources et son économie est assez considérable avec du potentiel ».
« Ceux qui imposent des sanctions doivent en payer le prix », a encore lancé le ministre.
Vendredi, les ambassadeurs de l’Union européenne se sont mis d’accord sur un important renforcement des sanctions, visant notamment les transactions financières avec les banques iraniennes, l’interdiction d’importation de gaz et le commerce, selon des diplomates.
Ce nouveau train de sanctions, qui forme, selon un diplomate européen, « un ensemble très robuste », sera entériné lundi par les ministres des Affaires étrangères.
Depuis l’été, les dirigeants iraniens dénoncent une « guerre économique » contre l’Iran. Pour autant, Téhéran continue de réaffirmer haut et fort qu’il ne cédera pas aux pressions et n’abandonnera jamais son programme nucléaire pacifique.
« Le peuple iranien saura faire échec aux sanctions barbares » imposées par les États-Unis et l’Union européenne, a répété mercredi le leader de la révolution islamique, sayed Ali Khamenei.
Source: Divers
« Les sanctions imposées à l'Iran, n'affectent pas que l'économie iranienne, elles touchent aussi d'autres pays ainsi que des compagnies étrangères », a déclaré vendredi à Tokyo le ministre
iranien des finances Shamseddine Hosseini.« Par exemple, la Turquie est devenue l'un de nos partenaires commerciaux les plus importants à la place de l'Allemagne, tandis que la Chine pourrait prendre la part de marché qui est celle du Japon », a-t-il détaillé lors d'une conférence de presse en marge du sommet annuel du FMI et de la Banque mondiale dans la capitale japonaise.
Tout en considérant ces sanctions « comme une colonisation froide ou une guerre économique », M. Hosseini a réaffirmé que « l’Iran a ses propres ressources et son économie est assez considérable avec du potentiel ».
« Ceux qui imposent des sanctions doivent en payer le prix », a encore lancé le ministre.
Vendredi, les ambassadeurs de l’Union européenne se sont mis d’accord sur un important renforcement des sanctions, visant notamment les transactions financières avec les banques iraniennes, l’interdiction d’importation de gaz et le commerce, selon des diplomates.
Ce nouveau train de sanctions, qui forme, selon un diplomate européen, « un ensemble très robuste », sera entériné lundi par les ministres des Affaires étrangères.
Depuis l’été, les dirigeants iraniens dénoncent une « guerre économique » contre l’Iran. Pour autant, Téhéran continue de réaffirmer haut et fort qu’il ne cédera pas aux pressions et n’abandonnera jamais son programme nucléaire pacifique.
« Le peuple iranien saura faire échec aux sanctions barbares » imposées par les États-Unis et l’Union européenne, a répété mercredi le leader de la révolution islamique, sayed Ali Khamenei.
Source: Divers
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