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Infographie: La Galilée… scène de la prochaine bataille avec l’ennemi

Infographie:  La Galilée… scène de la prochaine bataille avec l’ennemi
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Pour la seconde fois, le secrétaire général du Hezbollah cite la Galilée comme étant la destination inévitable des opérations militaires terrestres de la Résistance, en cas d'offensive israélienne contre le Liban.

Dès que sayed Nasrallah a annoncé que la Galilée sera la cible de la résistance lors de toute confrontation avec l'ennemi, les interprétations et les spéculations ont tenté d'esquisser le spectacle et le scenario de la bataille militaire avec «Israël». Pourquoi l'incursion de la résistance dans la Galilée effraie-t-elle les sionistes à ce point?

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Infographie:  La Galilée… scène de la prochaine bataille avec l’ennemi

Les experts militaires estiment que la partie qui pourra contrôler la Galilée durant la prochaine bataille, sera automatiquement en mesure de contrôler le Liban sud et les plaines entourant le lac de Tibériade. Par contre, la libération de toute superficie de la Galilée, via les territoires libanais sèmera la terreur en «Israël». Un fait dû au grand nombre de colonies sionistes limitrophes des frontières libanaises.

Les observateurs affirment que la Résistance est capable de franchir les frontières de l'entité ennemie et d'accéder à la Galilée. Une affirmation prise en compte par les Israéliens, lors de toute éventuelle bataille, notamment durant la guerre de juillet 2006. Les autorités sionistes avaient alors évacué les colonies du nord, en dépit des refuges souterrains et équipés qui s'y trouvent.

En 2006, et précisément à Bent-Jbeil, les moudjahidines de la Résistance ont été assiégés par les soldats sionistes qui ont ouvert une issue, par ruse, afin de pousser les combattants de la résistance à se retirer du village. Mais ces derniers ont profité de l'exutoire pour renforcer leur présence à Bent-Jbeil, en y introduisant un nombre supplémentaire de combattants, acculant l'ennemi au mur. Cet incident fournit l'exemple sur ce que fera la résistance, en cas d'incursion terrestre dans la Galilée.

Les manœuvres israéliennes successives se concentrent récemment sur deux éléments : les ressources humaines et la rapidité du déploiement sur le front en préparation à la prochaine bataille avec les combattants du Hezbollah. Une même stratégie que suit la Résistance, pour entrainer les soldats sionistes dans l'embuscade. Mais les craintes israéliennes émanent de la capacité des combattants de la résistance à s'adapter à toute nouvelle réalité imposée par les combats sur le terrain.

Les analyses des experts israéliens avancent l'hypothèse selon laquelle l'armée israélienne serait entrainée dans le territoire libanais pour l'assaillir et y établir une équation en faveur du Hezbollah.

Les experts israéliens notent que l'armée de l'air israélienne est désormais en danger et que la résistance est en mesure de préserver ses arsenaux de toute perte, voire de les contrôler et de les transporter facilement, dans les conditions difficiles ou sous le pilonnage.

Dans une première réaction israélienne aux menaces lancées par le secrétaire général du Hezbollah, sayed Hassan Nasrallah, sur la prise pour cible d'installations vitales en «Israël», le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a ordonné de renforcer des installations d'énergie vitales. Ces installations comprennent les usines de production d'électricité, les stations de dessalement et de pompage des eaux et les réserves de stockage des carburants.

En cas de guerre, il est prévu qu'«Israël» soit privé des sources de pétrole et de charbon ainsi que du pompage du gaz à partir des champs gaziers. L'économie israélienne sera alors contrainte de compter sur ses réserves stockées dans plusieurs régions dans les territoires occupées.

Les scenarios de guerre supposent en outre que soit touchée par les roquettes, une des raffineries de pétrole à Haïfa ou Ashdod. Pour ces raisons, les experts sionistes recommandent d'augmenter les réserves de carburants propres à l'institution militaire et d'envisager le transport maritime des carburants en cas d'urgence.

Sur le plan des ressources hydrauliques, la loi en vigueur dans l'entité ennemie oblige les autorités israéliennes à conserver des quantités d'eau pour les situations urgentes, y compris les eaux potables. Des réserves utilisées comme solutions temporaires en cas de dommages dans les stations de pompage et de dessalement des eaux.

 

Source: moqawama.org

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